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Dix façons de le préparer : la violette

Véronique Chapacou (Auteur)
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Résumé

C'est le Moyen Âges qui commence à utiliser la violette en gastronomie : elle était jusque-là connue pour se ses vertus médicinales. Au XIVe siècle, on trouve des recettes attestant de l'utilisation des feuilles dans des mets salés, et des fleurs pilées avec des amandes ou du lait d'amande.
Bien qu'on la nomme aussi « fleurs de mars » et qu'elle annonce le printemps, par un effet de réchauffement actuel du climat, on peut souvent la déguster fraîche dès février, et de bien d'autres façons ... Lire la suite
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Biographie

Parisienne d'adoption depuis 15 ans, Véronique Chapacou est une gourmande du Sud-Ouest qui a gardé l'accent. Passionnée de cuisine depuis son plus jeune âge, elle n'a cessé d'expérimenter depuis de nouveaux mariages de saveurs, parfois décalés mais toujours appréciés. Auteur culinaire, elle transmet aussi sa passion de la gastronomie au travers des diverses activités qu'elle exerce.

Site : www.saveurs-sucrees-salees.fr/

Bibliographie :

- Dix facçons de préparer la menthe - Collection Dix façons de  préparer - Epure - juin 2010 - 6,60 euros

- Les Outils du fromager - Epure - février 2012 - 6,50 euros

- Dix façons de préparer le Saint-Nectaire - Collection Dix façons de préparer - Epure - sept 2009 - 6,60 euros

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution29/10/2015
CollectionDix Facons De Le Preparer
EAN9782352551447
Nb. de Pages24
Caractéristiques
EditeurLes Éditions de l'Épure
Poids201 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 12,5 cm
Détail

C'est le Moyen Âges qui commence à utiliser la violette en gastronomie : elle était jusque-là connue pour se ses vertus médicinales. Au XIVe siècle, on trouve des recettes attestant de l'utilisation des feuilles dans des mets salés, et des fleurs pilées avec des amandes ou du lait d'amande.
Bien qu'on la nomme aussi « fleurs de mars » et qu'elle annonce le printemps, par un effet de réchauffement actuel du climat, on peut souvent la déguster fraîche dès février, et de bien d'autres façons le reste de l'année. Les Anglais en font des thés réputés, ainsi que des confits et des gelées. On la consomme volontiers en limonade dans le Nord de la France. Toulouse est renommée pour ses violettes cristallisés, mais elles y adoptent bien d'autres formes (glace, sirop, crème, liqueur). Quant aux bonbons à la violette, comme disait Boileau de la muscade, « on en a mis partout » - une certaine vogue, ces dernières années, fait que toutes les confiseries en confectionnent. On trouve ainsi de l'anis de Flavigny à la violette, et même des bêtises de Cambrai. La mode des fleurs comestible la met à la carte des restaurants gastronomiques : couronnement d'une « carrière » culinaire entamée au Moyen Âge. Les amoureux de la violette peuvent aller à Tourettes-sur-Loup visiter le musée qui lui est consacré. Elle a aussi sa maison à Toulouse, sur le Canal du Midi. L'Association internationale de la violette réunit régulièrement en congrès spécialistes et producteurs.
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