Parce que il est possible de penser autrement, Dragan Matic nous propose de nous en donner les moyens, de comprendre le fond des choses, les racines du problème. Dragan Matic constate que l'Holocratie procède d'une démarche où la structure sociale doit se construire en partant de la base, c'est-à-dire de nous, le peuple, et doit rester sous notre contrôle, plutôt que le contraire "Dans la société idéale de nos grand-parents, les jeunes respectaient leurs ainés et, bien-entendu, leurs parents. Ils écoutaient leurs aïeux et le ... Lire la suite
Dragan Matic est né à Sarajevo en 1961. Il grandit à Paris, qu'il quitte à regret le temps de faire ses études à Compiègne, puis y revient en qualité d'ingénieur informaticien. Il exerce son métier depuis 1986, d'abord en France, puis en Allemagne. Mais, c'est sa rencontre avec le bouddhisme zen, conjuguée avec son caractère observateur critique et curieux, qui le conduit à écrire, pour témoigner de ses impressions et de ses interrogations. Il côtoie la sangha, cette communauté paisible et singulièrement sereine qui prétend sauver tous les êtres sensibles. Alors, toujours aussi critique et interrogateur, il tente de comprendre par quels moyens elle compte y parvenir. Cela débouche sur ce petit récit qui, loin d'être une réponse à toutes les questions, n'a d'autre prétention que d'ouvrir les débats.
Caractéristiques
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Date Parution
05/09/2022
EAN
9782931179000
Nb. de Pages
151
Editeur
Editions Non Nobis
Caractéristiques
Poids
150 g
Présentation
Grand format
Dimensions
18,0 cm x 11,0 cm x 1,5 cm
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Livre numérique
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Détail
Parce que il est possible de penser autrement, Dragan Matic nous propose de nous en donner les moyens, de comprendre le fond des choses, les racines du problème. Dragan Matic constate que l'Holocratie procède d'une démarche où la structure sociale doit se construire en partant de la base, c'est-à-dire de nous, le peuple, et doit rester sous notre contrôle, plutôt que le contraire "Dans la société idéale de nos grand-parents, les jeunes respectaient leurs ainés et, bien-entendu, leurs parents. Ils écoutaient leurs aïeux et le prêtre et toutes les instances morales, juridiques et politiques supérieures. L'ordre social se maintenait ainsi de lui-même. A condition, bien-sûr, que chacun restât à sa place. Or, souvent, «rester à sa place» signifiait «subir des injustices et les accepter sans broncher». Et c'est ainsi que, lentement mais inexorablement, les «instances supérieures», vu qu'elles avaient le pouvoir, finissaient par en abuser."
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