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La Bretagne celtique

Patrick Galliou (Auteur)
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Résumé

Dernier bastion des langues celtiques sur le continent, la Bretagne adopta-telle, à la fin de la protohistoire, les façons de faire, de penser et de croire des peuples dits « celtiques », occupant, à cette époque, une grande partie de l'Europe tempérée ? Le concept d'une identité ethnique et culturelle propre à ces communautés qu'auraient largement diffusée, dans la zone concernée, d'amples mouvements migratoires, étant fortement contesté par les archéologues et les historiens, il est nécessaire, afin de comprendre l'évolution et les affinités des Armoricains ... Lire la suite
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Biographie

Patrick Galliou, est professeur émérite à l'Université de Bretagne Occidentale (Brest). Il est membre du Centre de recherche bretonne et celtique, Fellow de la Society of Antiquaries de Londres, il a publié de nombreux articles et ouvrages consacrés au passé de la Bretagne, dont L'Armorique romaine (Prix de l'Institut), Les tombes romaines d'Armorique et The Bretons (en collaboration avec Michael Jones).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution05/10/2017
EAN9782755807400
Nb. de Pages128
EditeurGisserot
Caractéristiques
Poids200 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,0 cm x 12,5 cm x 1,1 cm
Détail

Dernier bastion des langues celtiques sur le continent, la Bretagne adopta-telle, à la fin de la protohistoire, les façons de faire, de penser et de croire des peuples dits « celtiques », occupant, à cette époque, une grande partie de l'Europe tempérée ? Le concept d'une identité ethnique et culturelle propre à ces communautés qu'auraient largement diffusée, dans la zone concernée, d'amples mouvements migratoires, étant fortement contesté par les archéologues et les historiens, il est nécessaire, afin de comprendre l'évolution et les affinités des Armoricains au cours du dernier millénaire avant notre ère, d'en étudier précisément la culture matérielle et spirituelle. De cette analyse on pourra conclure que, si ces peuples firent leurs certains traits, artistiques ou religieux, de communautés proches ou lointaines ou en furent eux-mêmes les créateurs, ils ne sauraient être considérés comme les représentants occidentaux d'un ensemble de populations que l'on n'accepte plus guère, aujourd'hui, d'appeler « celtiques ».
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