Au milieu des années 2020, la France a passé le cap des 3?100 milliards d'euros de dette, soit plus de 110 % de son PIB. Pour la première fois dans son histoire, la France a accumulé en temps de paix un niveau de dette de temps de guerre.
Cette dette accumulée sur plus de quarante années représente plus de 114?000 kilomètres de lignes ferroviaires à grande vitesse, soit 2,8 fois le tour de la terre?! La dette a-t-elle servi à faire des investissements ... Lire la suite
Bernard Meunier a passé quinze années à des postes opérationnels du GIGN. Il a participé à de nombreuses prises d'otages massives, notamment l'affaire d'Ouvéa où il a pris la place d'otage volontaire pour dénouer la crise, ou encore comme négociateur sur des détournements d'avion (Marseille-Marignane 1994, Roissy 1998). Officier de réserve dans la gendarmerie, il intervient également dans le secteur privé, dans les domaines de la sûreté et de l'analyse du risque, et propose des conférences. Il est titulaire d'un master de recherche sur la négociation de crise. Il est également l'auteur, avec Alexandre Rodde, de Passage à l'acte, comprendre les tueries scolaires, aux éditions Kiwi (2019).
Caractéristiques
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Date Parution
23/05/2024
Collection
L'esprit Economique
EAN
9782336458298
Nb. de Pages
118
Caractéristiques
Editeur
Éditions L'harmattan
Poids
144 g
Présentation
Grand format
Dimensions
21,5 cm x 13,5 cm x 0,7 cm
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Livre numérique
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Détail
Au milieu des années 2020, la France a passé le cap des 3?100 milliards d'euros de dette, soit plus de 110 % de son PIB. Pour la première fois dans son histoire, la France a accumulé en temps de paix un niveau de dette de temps de guerre.
Cette dette accumulée sur plus de quarante années représente plus de 114?000 kilomètres de lignes ferroviaires à grande vitesse, soit 2,8 fois le tour de la terre?! La dette a-t-elle servi à faire des investissements utiles aux générations futures?? Non, la France s'est endettée pour payer ses dépenses courantes, pour mener un train de vie au-dessus de ses ressources.
Avec une industrie en attrition et une agriculture en déclin, faute de jeunes, nous devons nous réveiller et faire de la réduction de nos déficits une priorité absolue. Faute d'action volontaire, nous n'aurons que le choix de terminer comme l'Argentine ou la Grèce.
Ce regard sur la dette n'est pas celui d'un économiste ou d'un financier, mais celui d'un scientifique qui estime que l'emballement de la dette, comme celle d'une réaction chimique hors contrôle, se termine toujours mal. Il est encore temps d'agir avant que les marchés financiers lâchent la France.
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