Texte d'une conférence prononcée au Centre de Poétique Comparée à l'invitation de Jacques Roubaud, à l'occasion de la parution de l'Infinitif des pensées aux Éditions de l'Éclat, l'Infinitif complément en est quelque sorte, selon les termes de l'auteur, « une postface précoce ou si l'on préfère, un complément ».
Comme nulle part aussi nettement, Emmanuel Fournier s'interroge sur la logique d'inachèvement contenue dans le mode infinitif - infinitif que l'on opposera donc aussi bien à conjugué ou à substantif que, singulièrement désormais, à définitif. ... Lire la suite
Emmanuel Fournier est auteur de plusieurs livres de philosophie sur la place du langage dans nos interrogations, notamment Croire devoir penser (1998) aux éditions de l'Éclat. Il a également participé au Dictionnaire de la pensée médicale (PUF, 2004).
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
13/10/2008
Collection
Les Agrafes
EAN
9782952496186
Nb. de Pages
20
Caractéristiques
Editeur
Eric Pesty
Poids
65 g
Présentation
Grand format
Dimensions
22,0 cm x 14,0 cm x 0,3 cm
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Livre numérique
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Détail
Texte d'une conférence prononcée au Centre de Poétique Comparée à l'invitation de Jacques Roubaud, à l'occasion de la parution de l'Infinitif des pensées aux Éditions de l'Éclat, l'Infinitif complément en est quelque sorte, selon les termes de l'auteur, « une postface précoce ou si l'on préfère, un complément ».
Comme nulle part aussi nettement, Emmanuel Fournier s'interroge sur la logique d'inachèvement contenue dans le mode infinitif - infinitif que l'on opposera donc aussi bien à conjugué ou à substantif que, singulièrement désormais, à définitif. De fait l'Infinitif complément a vocation d'articulation logique de tout le travail d'écriture, depuis Croire devoir penser, dont une citation et sa matrice sont ici découvertes (§ 11 de Croire devoir penser / § 11 de l'Infinitif complément), jusqu'à Mer à faire, dont l'Infinitif complément pourrait tenir lieu de « postface précoce » en en expliquant l'incipit, volontiers provocateur : « Dessiner la mer, qu'ai-je de mieux à faire désormais ? Quoi de plus vain, quoi de moins ? Il fait beau ce matin et j'ai achevé de penser. Et la mer est à faire, qui veille sur nous de si loin. »
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