class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

Alban Berg ; le maître de la transition infime

Theodor Wiesengrund Adorno (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Ce livre d'Adorno sur Berg - le dernier qu'il ait publié de son vivant, en 1968 -, s'il n'est pas un des ouvrages majeurs du philosophe, en est l'un des plus attachants. Sa qualité toute particulière tient sans doute, comme Jean-Louis Leleu le souligne dans sa présentation, à la convergence de raisons différentes. Il y a d'abord la compétence qu'Adorno tire de son expérience de compositeur et de sa formation au sein de l'École de Vienne ; être l'élève de Berg, c'était recevoir indirectement l'enseignement ... Lire la suite
222,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

Philosophe, sociologue et musicologue allemand, Theodor W. Adorno
(1903-1969) soutient en 1923 une thèse sur Husserl à l'université de Francfort puis devient l'élève à Vienne du musicien Alban Berg. En 1938, il rejoint Horkheimer à l'Institut de recherche sociale de New York. De retour en Allemagne en 1949, il enchaîne les publications sur la musique et, plus largement, sur la consommation culturelle à l'ère indusrielle. Il laisse inachevée sa Théorie esthétique, parue à titre posthume, en 1970.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution02/02/1989
CollectionBibliotheque Des Idees
EAN9782070715275
Nb. de Pages224
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids310 g
PrésentationGrand format
Dimensions22,5 cm x 14,0 cm x 1,6 cm
Détail

Ce livre d'Adorno sur Berg - le dernier qu'il ait publié de son vivant, en 1968 -, s'il n'est pas un des ouvrages majeurs du philosophe, en est l'un des plus attachants. Sa qualité toute particulière tient sans doute, comme Jean-Louis Leleu le souligne dans sa présentation, à la convergence de raisons différentes. Il y a d'abord la compétence qu'Adorno tire de son expérience de compositeur et de sa formation au sein de l'École de Vienne ; être l'élève de Berg, c'était recevoir indirectement l'enseignement de Schonberg, avec ce qu'il impliquait d'exigence et de responsabilité dans le rapport au matériau musical. Il y a d'autre part la distance critique qu'un regard de philosophe rompu à la dialectique lui permet d'avoir à l'égard de cette École, et notamment de Schonberg lui-même, distance dont témoigne avec éclat la Philosophie de la musique nouvelle et qui lui permet de mettre Alban Berg à sa juste place. Il y a surtout l'amitié que depuis leur rencontre en 1924 Adorno vouait à l'auteur de Wozzeck et qui donne à tous ces écrits leur «tonalité propre». Il s'est appliqué à établir un lien étroit entre la «physionomie musicale» de l'oeuvre et la manière d'être dans la vie de celui qui l'a produite. De là la cohérence profonde de ses analyses et la force de son portrait.
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note