Entre roman noir, thriller et drame psychologique, l'auteur vous invite ici dans ce roman écrit à l'âge de 18 ans à un voyage entre coma, écriture, reconquête du « moi » et réalité.
Sandrine n'aurait certainement jamais écrit, si un jour elle n'avait pas rencontré un homme qui par ses maux passés avait su lui démontrer que l'on peut vivre si ce n'est revivre grâce à l'écriture. Elle, l'enfant abandonnée, la femme diabolisée, ne savait pas si un jour elle trouverait la force d'écrire. ... Lire la suite
Avec ce dixième roman, Robert Aveillan invite le lecteur à devenir l'un des acteurs principaux d'une surprenante histoire qui le propulsera au cœur d'un voyage captivant, et qui le convaincra sans nul doute qu'un serpent qui se mord la queue n'est peut-être pas aussi sot que ça ! Illustration de couverture réalisée par Robert Aveillan.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
11/02/2010
EAN
9782813100481
Nb. de Pages
204
Editeur
Praelego
Caractéristiques
Poids
401 g
Présentation
Grand format
Dimensions
21,0 cm x 14,8 cm
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Livre numérique
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Détail
Entre roman noir, thriller et drame psychologique, l'auteur vous invite ici dans ce roman écrit à l'âge de 18 ans à un voyage entre coma, écriture, reconquête du « moi » et réalité.
Sandrine n'aurait certainement jamais écrit, si un jour elle n'avait pas rencontré un homme qui par ses maux passés avait su lui démontrer que l'on peut vivre si ce n'est revivre grâce à l'écriture. Elle, l'enfant abandonnée, la femme diabolisée, ne savait pas si un jour elle trouverait la force d'écrire. Cependant si ses derniers mots doivent être, elle désire qu'ils soient écrits et non pas bafouillés par cette jeune femme qu'elle pense être et qui lui fait honte.
Lutter contre l'invisible, reconquérir son moi, retrouver une identité avec le temps comme unique témoin d'un combat acharné, Sandrine n'aura de cesse d'oublier ce corps abusé qu'un être aimé a su rançonner pour n'en faire que l'outil d'une mission à la spiritualité déguisée.
Une conscience manipulée, une perception de soi maquillée, et si pourtant cet handicap avéré qui l'a fit souffrir depuis sa plus tendre enfance devenait maintenant son unique moyen de se reconstruire.
La crise du langage serait elle donc uniquement le symptôme d'un mal être existentiel ou devrait elle être aussi considérée comme une stratégie de communication ?
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