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la première marine de guerre romaine

Yann Le Bohec (Auteur)
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Résumé

Le grand historien grec Polybe a affirmé que les Romains n'avaient pas de marine militaire en 264 av. J.-C., au moment où ils ont engagé la première guerre punique, et qu'ils ont créé des navires et des flottes à la suite de miracles. Comme il écrivait bien, ses lecteurs l'ont cru sur parole.

Mais les miracles n'ont pas leur place en histoire. De plus, des textes et des faits contredisent cette affirmation. Les Romains ont eu très tôt la maîtrise de la mer, ce ... Lire la suite
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Biographie

Yann Le Bohec, professeur émérite de l'université Paris IV - Sorbonne, est l'auteur de quelques best-sellers en histoire ancienne : Histoire romaine, aux PUF (avec M. Le Glay et J.-L. Voisin : plus de 40 000 exemplaires vendus), L'armée romaine sous le Haut-Empire (traduite en 5 langues), La guerre romaine (Tallandier, 2014) et Histoire militaire des guerres puniques (Texto,2014).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution19/11/2020
CollectionIllustoria
EAN9782917575918
Nb. de Pages84
Caractéristiques
EditeurLemme Edit
Poids142 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,0 cm x 14,0 cm x 0,9 cm
Détail

Le grand historien grec Polybe a affirmé que les Romains n'avaient pas de marine militaire en 264 av. J.-C., au moment où ils ont engagé la première guerre punique, et qu'ils ont créé des navires et des flottes à la suite de miracles. Comme il écrivait bien, ses lecteurs l'ont cru sur parole.

Mais les miracles n'ont pas leur place en histoire. De plus, des textes et des faits contredisent cette affirmation. Les Romains ont eu très tôt la maîtrise de la mer, ce qui leur a permis de vaincre les Carthaginois à plusieurs reprises et de remporter ce conflit.

C'est ce que nous prouve ce livre.

"Lorsqu'ils [les Romains] décidèrent de faire passer leurs troupes [en Sicile], à Messine, ils ne possédaient pas de vaisseaux pontés, ni de transports, pas même un petit bateau, mais seulement des bâtiments à cinquante rames et des trirèmes, qu'ils avaient empruntés à Tarente, à Locres, à Élée et à Naples," POLYBE (1,3) ;
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