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vie des fourmis

Maurice Maeterlinck, Michel Brix (Auteur)
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Résumé

En 1930, Maeterlinck décide d'achever sa trilogie des insectes sociaux en composant La Vie des fourmis. Il les avait jusqu'alors négligées dans son observation de la vie animale, car il les croyait « antipathiques, ingrates et trop connues ». Il veut maintenant leur rendre justice. Toutefois, cette fois, Maeterlinck fonde son étude moins sur son expérience que sur les travaux de spécialistes. Ce qu'il apporte de nouveau, c'est un ordre, un parti pris, celui de considérer l'étude des fourmis comme une histoire ou plutôt comme ... Lire la suite
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Biographie

Directeur de recherches à l'université de Namur (Belgique), membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises de Belgique, Michel Brix est l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages ? essais et éditions ? consacrés à la littérature française des XVIIIe et XIXe siÚcles ; il a notamment publié, aux éditions Kimé, PoÚme en prose, vers libre et modernité littéraire (2014) et Libertinage des LumiÚres et guerre des sexes (2018).
Né à Gand en 1862, Maurice Maeterlinck se consacre rapidement à la littérature. Dès 1889, il publie un recueil de poèmes, Serres Chaudes, et une pièce de théâtre, La Princesse Maleine, qui traduisent ses préoccupations symbolistes. Poète, dramaturge et essayiste, il reçoit en 1911 le Prix Nobel de littérature. Il meurt à Orlamonde, près de Nice, en 1949.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution26/09/2019
EAN9782841006779
Nb. de Pages196
EditeurOmnia
Caractéristiques
Poids114 g
PrésentationPoche
Dimensions17,9 cm x 11,0 cm x 1,0 cm
Détail

En 1930, Maeterlinck décide d'achever sa trilogie des insectes sociaux en composant La Vie des fourmis. Il les avait jusqu'alors négligées dans son observation de la vie animale, car il les croyait « antipathiques, ingrates et trop connues ». Il veut maintenant leur rendre justice. Toutefois, cette fois, Maeterlinck fonde son étude moins sur son expérience que sur les travaux de spécialistes. Ce qu'il apporte de nouveau, c'est un ordre, un parti pris, celui de considérer l'étude des fourmis comme une histoire ou plutôt comme une ethnologie d'espèces diverses. Là encore on retrouve son propos anthropomorphique. De ce volume, comme les précédents se dégage une philosophie de la vie, à la fois rationaliste et simple, fondée sur des observations justes, mais qui demeure subjective. Maeterlinck a su trouver des mots clairs et simples pour exprimer la complexité de ces sociétés de ces sociétés animales qui ne cessent de nous fasciner et continueront à le faire.
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