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Une leçon de morale

Paul Eluard (Auteur)
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Résumé

«Ce nouveau recueil de vingt-sept poèmes inédits en majeure partie marque un moment important dans la vie de l'auteur et dans son oeuvre. Je me suis voulu moraliste, dit-il dans sa préface. Combien de fois ai-je dû me répéter, avec cet entêtement absurde du combattant discipliné : 'Ce qui est mal te fait souffrir ou fait souffrir les autres, mais ce qui est bien est juste et harmonieux et sage, dans tous les sens ; tu le sais, ne ruse pas.' Car ruser avec le ... Lire la suite
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Biographie

De son vrai nom Eugène Grindel (14 décembre 1895 à Saint-Denis - 18 novembre 1952 à Charenton-le-Pont), Paul Eluard adhère au mouvement Dada, puis participe à l'aventure surréaliste aux côtés d'André Breton, Louis Aragon et Philippe Soupault. Poète de la Résistance durant les années noires, militant communiste, il demeure le chantre éternel d'un certain lyrisme amoureux. Dans la collection “ Poésie d'abord ”, les Éditions Seghers rassemblent quelques-uns de ses plus beaux textes : Derniers poèmes d'amour, Le Poète et son ombre, Poésie involontaire et poésie intentionnelle, L'Immaculée Conception (avec André Breton) et Lettres de jeunesse.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution12/11/1981
CollectionPoesie Gallimard
EAN9782070322107
Nb. de Pages192
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids158 g
PrésentationPoche
Dimensions17,8 cm x 10,8 cm x 1,0 cm
Détail

«Ce nouveau recueil de vingt-sept poèmes inédits en majeure partie marque un moment important dans la vie de l'auteur et dans son oeuvre. Je me suis voulu moraliste, dit-il dans sa préface. Combien de fois ai-je dû me répéter, avec cet entêtement absurde du combattant discipliné : 'Ce qui est mal te fait souffrir ou fait souffrir les autres, mais ce qui est bien est juste et harmonieux et sage, dans tous les sens ; tu le sais, ne ruse pas.' Car ruser avec le bien s'avère toujours plus possible que de conserver son mal. On ruse avec la vie, on ne trompe pas la mort. Mais ce bien et ce mal, quels sont-ils ? Combien de fois ai-je changé l'ordre de ces poèmes, remis au bien ce qui était au mal, et inversement ? Le jour suivait-il la nuit ou la nuit le jour ? Je suis d'humeur changeante, mais ni l'aube pour moi, ni le crépuscule, jamais ne trébuchent. Ils se transforment. Le mal doit être mis au bien. Et par tous les moyens, faute de tout perdre. Contre toute morale résignée, nous dissiperons la douleur et l'erreur. Puisque nous avons eu confiance.» (Bulletin de la NRF n° 30, déc. 1949)
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