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Una vita

Italo Svevo (Auteur)
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Résumé

Mamma mia, «Iersera, appena, ricevetti la tua buona e bella lettera.
«Non dubitarne, per me il tuo grande carattere non ha segreti; anche quando non so decifrare una parola, comprendo o mi pare di comprendere ciò che tu volesti facendo camminare a quel modo la penna. Rileggo molte volte le tue lettere; tanto semplici, tanto buone, somigliano a te; sono tue fotografie.
«Amo la carta persino sulla quale tu scrivi! La riconosco, è quella che spaccia il vecchio Creglingi, e, vedendola, ricordo la ... Lire la suite
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Biographie

Né à Trieste en 1861, l'écrivain italien Italo Svevo se passionne très tôt pour la littérature allemande et la philosophie de Schopenhauer. Après avoir travaillé pendant dix-huit ans dans une banque et publié un premier roman, Une vie en 1892, il entre dans une firme fabricant des vernis sous-marins. Il voyage alors beaucoup, rencontre James Joyce puis s'enthousiasme pour la psychanalyse, ce qui transparaît dans La Conscience de Zeno, paru en 1923. Subitement, Svevo jouit de la consécration du monde littéraire : sa modernité est saluée, son art de l'introspection admiré, son sens de l'observation du monde qui l'entoure et la vivacité de ses personnages acclamés. On l'érige précurseur de Joyce et de Proust. Seulement, Svevo ne jouira que très peu de son flamboyant succès, il succombe aux suites d'un accident de voiture en 1928.


Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution19/03/2023
EAN9791041967124
Nb. de Pages208
EditeurCulturea
Caractéristiques
Poids332 g
PrésentationGrand format
Dimensions22,0 cm x 17,0 cm x 1,2 cm
Détail

Mamma mia, «Iersera, appena, ricevetti la tua buona e bella lettera.
«Non dubitarne, per me il tuo grande carattere non ha segreti; anche quando non so decifrare una parola, comprendo o mi pare di comprendere ciò che tu volesti facendo camminare a quel modo la penna. Rileggo molte volte le tue lettere; tanto semplici, tanto buone, somigliano a te; sono tue fotografie.
«Amo la carta persino sulla quale tu scrivi! La riconosco, è quella che spaccia il vecchio Creglingi, e, vedendola, ricordo la strada principale del nostro paesello, tortuosa ma linda. Mi ritrovo là ove s'allarga in una piazza nel cui mezzo sta la casa del Creglingi, bassa e piccola, col tetto in forma di cappello calabre...
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