C'est par le Transsibérien que Géraldine Dunbar a choisi de découvrir la Russie. À bord du « train des trains », dans les gares et les villes où elle fait étape, la jeune voyageuse croise des gens d'horizons divers : cheminots, artistes, vendeurs ambulants, étudiants, militaires, chasseurs et pêcheurs, vétérans, anciens déportés ou nouveaux riches. Ces rencontres lui permettent de mieux comprendre la société russe, où coexistent deux générations : l'une nostalgique de l'époque soviétique et l'autre plus tournée vers l'Occident. Après 10 000 kilomètres ... Lire la suite
Née à Londres en 1972, de père sud-africain et de mère française, Géraldine Dunbar a passé sa jeunesse en Grande-Bretagne. Après avoir appris le russe au lycée, elle effectue son premier voyage en Russie en 1992 et poursuit l'aventure en faisant le tour de la Grimée en auto-stop. Titulaire d'un DEA d'Etudes slaves, Géraldine Dunbar multiplie ensuite les séjours à Moscou, où elle travaille à la BBC puis dans la publicité. Elle y retourne en 2004 ; pour réaliser son rêve : voyager à bord du Transsibérien.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
20/05/2010
Collection
Sillages
EAN
9782361570019
Nb. de Pages
312
Caractéristiques
Editeur
Transboreal
Poids
436 g
Présentation
Grand format
Dimensions
22,5 cm x 14,0 cm x 2,3 cm
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Livre numérique
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Détail
C'est par le Transsibérien que Géraldine Dunbar a choisi de découvrir la Russie. À bord du « train des trains », dans les gares et les villes où elle fait étape, la jeune voyageuse croise des gens d'horizons divers : cheminots, artistes, vendeurs ambulants, étudiants, militaires, chasseurs et pêcheurs, vétérans, anciens déportés ou nouveaux riches. Ces rencontres lui permettent de mieux comprendre la société russe, où coexistent deux générations : l'une nostalgique de l'époque soviétique et l'autre plus tournée vers l'Occident. Après 10 000 kilomètres à travers la steppe et la taïga, de l'Oural à l'Amour en passant par les rives du lac Baïkal, l'auteur atteint Vladivostok, sur l'océan Pacifique. Quatre mois d'enchantement, à goûter les zakouski et le charme des conversations, à contempler l'infini des paysages, à visiter les villes de Sibérie et à vivre au rythme des chefs de wagon pour, enfin, faire siens les mots de Tolstoï : « Est seul vivant celui qui aime. ».
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