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Richard Strauss

André Tubeuf (Auteur)
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Résumé

Une musique et un monde, même, sont morts avec Richard Strauss (1864-1949). Funeste destin pour cet homme qui, dès ses vingt ans, connaîtra les honneurs et, bientôt, les prébendes. Conformiste et bourgeois à bien des égards, le compositeur fut un temps - celui des poèmes symphoniques, et, surtout, d'Elektra - un révolutionnaire en musique. Puis, avec Le Chevalier à la rose et La Femme sans ombre, l'ex-jeune homme d'avenir se fera le champion d'une cause perdue : l'héritage. Celui de Mozart, surtout, et de Wagner ... Lire la suite
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Biographie

Né à Smyrne en 1930, normalien Ulm, agrégé de philosophie, André Tubeuf l'a enseignée trente-cinq ans en khâgne. Le reste du temps, il apprenait, en l'écoutant, la musique que l'éloignement, la guerre, d'autres études ensuite l'avaient empêché d'apprendre comme tout le monde. Le meilleur de ses innombrables chroniques dans la presse française, Le Point, Diapason puis Classica, et à la radio a été réuni en Offrande musicale (Laffont, coll. « Bouquins », 2007).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution01/10/2004
CollectionClassica
EAN9782742749126
Nb. de Pages224
Caractéristiques
EditeurActes Sud
Poids134 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,0 cm x 10,0 cm x 1,3 cm
Détail

Une musique et un monde, même, sont morts avec Richard Strauss (1864-1949). Funeste destin pour cet homme qui, dès ses vingt ans, connaîtra les honneurs et, bientôt, les prébendes. Conformiste et bourgeois à bien des égards, le compositeur fut un temps - celui des poèmes symphoniques, et, surtout, d'Elektra - un révolutionnaire en musique. Puis, avec Le Chevalier à la rose et La Femme sans ombre, l'ex-jeune homme d'avenir se fera le champion d'une cause perdue : l'héritage. Celui de Mozart, surtout, et de Wagner aussi. Strauss ne cessera alors d'explorer ce lieu magique qu'est le théâtre, le rendant plus intelligible, plus habitable, plus hospitalier. Hofmannsthal et Zweig en seront les témoins privilégiés. Une musique et un monde sont morts avec Strauss, et pourtant son oeuvre, qui sait bien qu'elle n'aura pas de suite, est plus vivante en nous que celles qui sont venues depuis et qui s'imaginent qu'elles commencent quelque chose.
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