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poésie ininterrompue

Paul Eluard (Auteur)
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Résumé

«Je sais parce que je le dis Que mes désirs ont raison Je ne veux pas que nous passions À la boue Je veux que le soleil agisse Sur nos douleurs qu'il nous anime Vertigineusement Je veux que nos mains et nos yeux Reviennent de l'horreur ouvertes pures Je sais parce que je le dis Que ma colère a raison Le ciel a été foulé la chair de l'homme A été mise en pièces Glacée soumise dispersée Je veux qu'on lui rende justice Une justice ... Lire la suite
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Biographie

De son vrai nom EugÚne Grindel (14 décembre 1895 à Saint-Denis - 18 novembre 1952 à Charenton-le-Pont), Paul Eluard adhÚre au mouvement Dada, puis participe à l'aventure surréaliste aux cÃŽtés d'André Breton, Louis Aragon et Philippe Soupault. PoÚte de la Résistance durant les années noires, militant communiste, il demeure le chantre éternel d'un certain lyrisme amoureux. Ces poÚmes marqués par la lutte contre l'occupant sont rassemblés en avril 1945 dans Au rendez-vous allemand, suivi de Poésie et vérité 1942, qui paraît aux Éditions de Minuit. Les Œuvres complÚtes de Paul Eluard sont disponibles dans la « BibliothÚque de la Pléiade » (Gallimard, 1968, 2 vol.).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution22/01/1969
CollectionPoésie Gallimard
EAN9782070300976
Nb. de Pages160
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids130 g
PrésentationPoche
Dimensions17,7 cm x 11,2 cm x 0,9 cm
Détail

«Je sais parce que je le dis Que mes désirs ont raison Je ne veux pas que nous passions À la boue Je veux que le soleil agisse Sur nos douleurs qu'il nous anime Vertigineusement Je veux que nos mains et nos yeux Reviennent de l'horreur ouvertes pures Je sais parce que je le dis Que ma colère a raison Le ciel a été foulé la chair de l'homme A été mise en pièces Glacée soumise dispersée Je veux qu'on lui rende justice Une justice sans pitié Et que l'on frappe en plein visage les bourreaux Les maîtres sans racines parmi nous Je sais parce que je le dis Que mon désespoir a tort Il y a partout des ventres tendres Pour inventer des hommes Pareils à moi Mon orgueil n'a pas tort Le monde ancien ne peut me toucher je suis libre Je ne suis pas un fils de roi je suis un homme Debout qu'on a voulu abattre» Le travail du poète, VII
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