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Picabia et le cinéma

Carole Boulbès (Auteur)
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Résumé

Picabia, fit du cinéma à toute vitesse, entre jouissance et folie, comme il conduisait ses automobiles. En 1924, il avoua avoir confié un « tout petit scénario de rien du tout » à René Clair qui en fit un « un chef d'oeuvre », Entr'acte. Pourtant, le peintre s'était pris au jeu, au point d'inventer un ballet-cinéma (souvent comparé au Grand Verre de Duchamp), puis de caresser le rêve de fonder un collectif de cinéastes. En 1928, il récidiva avec La Loi d'accommodation chez les ... Lire la suite
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Biographie

Historienne et critique d'art, Carole BoulbÚs est l'auteur d'une thÚse d'Arts et Sciences de l'Art sur Les écrits esthétiques de Francis Picabia, entre révolution et réaction (1907-1953). Spécialiste des avant-gardes dadaïstes et surréalistes, elle est notamment l'auteur de Picabia avec Nietzsche – Lettres d'amour à Suzanne Romain (1944-1948) (Les presses du réel, 2010), Picabia, le saint masqué (Jean-Michel Place, 1998) et a dirigé la réédition de ses écrits aux éditions Mémoire du Livre. Elle a participé à la rétrospective Picabia, singulier idéal qui s'est tenue au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, ainsi qu'à l'exposition Cher peintre au Centre Georges Pompidou, en 2002. Ses textes sur l'art moderne et contemporain paraissent réguliÚrement dans Art press depuis le début des années 1990 et ont été publiés dans de nombreux catalogues monographiques.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution06/11/2020
CollectionLe Cinéma Des Poètes
EAN9782376280774
Nb. de Pages128
Caractéristiques
EditeurNouvelles Editions Place
Poids110 g
PrésentationPoche
Dimensions17,5 cm x 11,3 cm
Détail

Picabia, fit du cinéma à toute vitesse, entre jouissance et folie, comme il conduisait ses automobiles. En 1924, il avoua avoir confié un « tout petit scénario de rien du tout » à René Clair qui en fit un « un chef d'oeuvre », Entr'acte. Pourtant, le peintre s'était pris au jeu, au point d'inventer un ballet-cinéma (souvent comparé au Grand Verre de Duchamp), puis de caresser le rêve de fonder un collectif de cinéastes. En 1928, il récidiva avec La Loi d'accommodation chez les borgnes, « l'histoire d'un crime de lèse-réalité » très différent des scénarios d'Artaud, de Buñuel et Dali ou de Desnos. Et pour cause ! Ses articles explicatifs sont remplis d'anecdotes plus ou moins triviales et de mots d'esprit : Entr'acte et La Loi ne croient pas à grand-chose, sauf au « désir d'éclater de rire » ; « on ne va pas au cinéma pour y retrouver sa table de nuit, ses pantoufles, sa cuisinière ou son carnet de chèque ».....
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