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Pain de seigle et vin de grives ; la vie d'un métayer des Landes au siècle dernier

Georgette Laporte-Castède (Auteur)
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Résumé

Prenant la plume au nom de son père Pierre Castède, l'auteur nous fait partager au jour le jour et au fil des saisons la vie d'une famille de métayers des Landes de 1897 à 1919.
Devenue enseignante rurale, Georgette Laporte-Castède évoque, entre l'Armagnac et la Grande-Lande, les Petites Landes de Labrit et de Roquefort au début du siècle dernier. La polyculture vivrière, l'exploitation de la forêt de pins, l'élevage des races traditionnelles et un embryon d'industrie y coexistent. Si le métayage est à son apogée, ... Lire la suite
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Biographie

Le « Carnet de cuisine » de Georgette Laporte-Castède complète « Pain de seigle et vin de grives », publié voici vingt ans, constamment réédité, et devenu un document ethnographique reconnu sur la vie des métayers des Landes. Agrémenté de rares et émouvants documents photographiques, cet ouvrage inédit se veut source d'inspiration pour tous les amoureux des Landes et de leurs traditions culinaires. Il occupe déjà une place de choix parmi les livres consacrés à cette lumineuse et attachante région.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution17/06/2010
EAN9782844981615
Nb. de Pages285
EditeurAuberon
Caractéristiques
Poids518 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,0 cm x 15,3 cm x 2,5 cm
Détail

Prenant la plume au nom de son père Pierre Castède, l'auteur nous fait partager au jour le jour et au fil des saisons la vie d'une famille de métayers des Landes de 1897 à 1919.
Devenue enseignante rurale, Georgette Laporte-Castède évoque, entre l'Armagnac et la Grande-Lande, les Petites Landes de Labrit et de Roquefort au début du siècle dernier. La polyculture vivrière, l'exploitation de la forêt de pins, l'élevage des races traditionnelles et un embryon d'industrie y coexistent. Si le métayage est à son apogée, on en perçoit déjà les premiers craquements.
Et l'évocation d'une certaine douceur de vivre ne peut faire oublier la menace des intempéries, les fluctuations du marché, l'âpreté des rapports sociaux, en un mot la précarité de la vie.
La voix de Pierre Castède, transposée dans l'écriture précise, fine et malicieuse de sa fille, nous raconte une époque sévère, nous renvoie à un passé de labeur et de pénurie.
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