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Marcher, créer ; déplacements, flâneries, dérives dans l'art de la fin du XXe siècle

Thierry Davila (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Ce livre part d'un constat : une partie de l'art actuel accorde au déplacement un rôle majeur dans l'invention des oeuvres. En ce sens elle ne fait que participer de l'histoire générale de l'art dans laquelle la figure de l'homme qui marche est essentielle. La façon cependant dont cette question est aujourd'hui traitée par les artistes est suffisamment singulière pour mériter une analyse à part entière. C'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui n'est pas un panorama de la fonction plastique du nomadisme mais ... Lire la suite
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Biographie

Historien de l'art et philosophe de formation, Thierry Davila est conservateur chargé des éditions au Mamco de Genève. Il a organisé un certain nombre d'expositions, dont plusieurs ont mis en rapport l'art moderne et l'art le plus actuel, et a publié une dizaine d'ouvrages d'histoire et de théorie de l'art, parmi lesquels L'Art médecine, en collaboration avec Maurice Fréchuret (RMN, 1999) , Marcher, créer. Déplacements, flâneries, dérives dans l'art de la fin du XXe siècle (Éditions du Regard, 2002 et 2010), In extremis. Essais sur l'art et ses déterritorialisations depuis 1960 (La lettre volée, 2009), De l'inframince. Brève histoire de l'imperceptible de Marcel Duchamp à nos jours (Éditions du Regard, 2010 et 2019), Uniques. Cahiers écrits, dessinés, inimprimés (Flammarion, 2018). Il est aussi l'éditeur, avec Pierre Sauvanet, aux Presses du réel, du recueil Devant les images - Penser l'art et l'histoire avec Georges Didi-Huberman.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution09/12/2002
EAN9782841051540
Nb. de Pages192
EditeurLe Regard
Caractéristiques
Poids640 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,5 cm x 17,5 cm x 1,6 cm
Détail

Ce livre part d'un constat : une partie de l'art actuel accorde au déplacement un rôle majeur dans l'invention des oeuvres. En ce sens elle ne fait que participer de l'histoire générale de l'art dans laquelle la figure de l'homme qui marche est essentielle. La façon cependant dont cette question est aujourd'hui traitée par les artistes est suffisamment singulière pour mériter une analyse à part entière. C'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui n'est pas un panorama de la fonction plastique du nomadisme mais un choix opéré à partir de recherches contemporaines (essentiellement Gabriel Orozco, Francis Alÿs, le laboratoire Stalker) exemplaires de cette question dont il met en évidence les règles et les mécanismes d'action. Apparaît alors un univers où le déplacement est non seulement le moyen d'une translation spatiale mais également un fait psychique, un outil de fiction ou encore l'autre nom de la production. Cette cinéplastique qui fait de la ville son théâtre d'opérations, ces déplacements aux multiples résonances tracent le visage d'un monde où le réel est un processus. C'est le côté " chinois " de ces artistes et de leurs oeuvres.
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