Prises dans la tourmente de la mondialisation libérale de la finance, avec son cortège de fusions/acquisitions, de délocalisation d'usines, de recherche effrénée d'un profit immédiat, les entreprises ont eu la tentation d'oublier l'humain. Et pourtant, de nombreux travaux de recherche en sciences économiques et sociales avaient montré qu'il était indispensable, pour de simples raisons non pas d'abord morales mais d'efficacité économique, de bien prendre en compte le facteur humain dans la décision managériale.
Nous savons aujourd'hui, grâce aux modèles qui nous sont proposés ... Lire la suite
Ingénieur des Arts et Métiers, Docteur en Sciences physiques, Gérard Donnadieu a d'abord été enseignant de physique à l'Université, avant d'exercer durant quinze ans des fonctions dans un grand groupe pétrolier. Disciple de François Perroux en économie, il a été membre du Conseil Économique et Social durant cinq ans avant de devenir Directeur d'Etudes à l'Institut Entreprise et Personnel et Professeur associé à l'IAE de Paris (Université Paris I). Titulaire dune maîtrise en sciences et théologie des religions, il assure depuis 1999 un enseignement à l'Ecole Cathédrale de Paris. Secrétaire général de l'Association française de Science des Systèmes, il est aussi membre du Conseil d'Administration de l'Association des Amis de Pierre Teilhard de Chardin. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages scientifiques, économiques et sociaux.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
07/04/2025
EAN
9791042428860
Nb. de Pages
446
Editeur
Bookelis
Caractéristiques
Poids
625 g
Présentation
Grand format
Dimensions
23,4 cm x 15,6 cm
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Livre numérique
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Détail
Prises dans la tourmente de la mondialisation libérale de la finance, avec son cortège de fusions/acquisitions, de délocalisation d'usines, de recherche effrénée d'un profit immédiat, les entreprises ont eu la tentation d'oublier l'humain. Et pourtant, de nombreux travaux de recherche en sciences économiques et sociales avaient montré qu'il était indispensable, pour de simples raisons non pas d'abord morales mais d'efficacité économique, de bien prendre en compte le facteur humain dans la décision managériale.
Nous savons aujourd'hui, grâce aux modèles qui nous sont proposés par la pensée systémique, que c'est au manager lui-même, qu'il soit chef d'entreprise, directeur d'usine, chef d'agence ou chef de service que revient en priorité la mission de gouverner les hommes. Ce livre, écrit en 1997 et plus que jamais actuel, se veut un guide pour les nombreux cadres en charge d'hommes, du chef d'atelier au dirigeant d'entreprise.
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