La mère (création 2010, Théâtre de Paris) : la pièce raconte la douleur et la solitude d'Anne, qui voit ses enfants partir et se retrouve toute seule dans sa maison. La narration n'est pas linéaire, et le lecteur est invité à parcourir un labyrinthe, qui est celui des pensées du personnage égaré de la mère. Quand on a tout donné pour sa famille, comment survivre lorsque celle-ci n'existe quasiment plus ? Anne erre seule dans son appartement aux murs gris et trompe l'angoisse entre alcool ... Lire la suite
Né en 1979.
Professeur de littérature à Sciences-po, Florian Zeller est un jeune écrivain prometteur. A 22 ans, il publie son premier roman, 'Neige artificielle', qui reçoit le prix de la fondation Hachette. Il est également l'auteur des 'Amants du n'importe quoi' et de 'La fascination du pire'qui lui vaut l'attribution du prix Interallié en 2004. Il écrit deux pièces 'L'Autre', mise en scène au théâtre des Mathurins par Annick Blancheteau et 'Le Manège', de Nicolas Briançon avec Marine Delterme et Nicolas Vaude au Petit Montparnasse. 'Julien Parme' est publié en 2006.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
03/10/2019
Collection
Le Manteau D'arlequin
EAN
9782072845208
Nb. de Pages
230
Caractéristiques
Editeur
Gallimard
Poids
258 g
Présentation
Grand format
Dimensions
19,0 cm x 12,7 cm x 2,0 cm
L' article a été ajouté au panier
Livre numérique
Regular PriceSpecial Price
Détail
La mère (création 2010, Théâtre de Paris) : la pièce raconte la douleur et la solitude d'Anne, qui voit ses enfants partir et se retrouve toute seule dans sa maison. La narration n'est pas linéaire, et le lecteur est invité à parcourir un labyrinthe, qui est celui des pensées du personnage égaré de la mère. Quand on a tout donné pour sa famille, comment survivre lorsque celle-ci n'existe quasiment plus ? Anne erre seule dans son appartement aux murs gris et trompe l'angoisse entre alcool et médicaments. Son quotidien devient brumeux. Entre deux scènes présentées sous différents angles le lecteur, lui aussi perdu dans les vapeurs des rêves et des divagations de cette femme si touchante, ne sait plus exactement ce qui est réel et ce qui ne l'est pas.
Le père (création septembre 2012, théâtre Hébertot) : André, âgé de 88 ans est encore réactif pour son âge mais présente les premiers signes d'une maladie qui pourrait bien faire penser à la maladie d'Alzheimer. Il a pour fille Anne qui l'aime et ne cherche que son bien et sa protection. Mais l'avance de la maladie est inexorable. Nous assistons alors à la dégénérescence progressive de cet homme, au désarroi de sa famille et au manque de communication croissant avec l'avancée de sa perte de mémoire. Tout disparait petit à petit, les décors, les repères, les bonheurs familiaux... On assiste impuissant à sa déchéance et à ses derniers moments de lucidité.
Le fils (création février 2018, Comédie des Champs-Élysées) : Nicolas a 17 ans et vit chez sa mère, Anne. Son père, Pierre, vient d'avoir un enfant avec sa nouvelle compagne, Sofia. Anne informe Pierre que leur fils, adolescent dépressif, n'est plus allé au lycée depuis trois mois.
Pierre discute alors avec Nicolas qui demande à venir vivre avec Sofia et lui. Pierre accepte, le change de lycée et va mettre en oeuvre tout ce qui lui est possible pour redonner le goût de vivre à son fils. Mais le père est confronté aux pulsions suicidaires de son fils qui perd pied.
Sa survie n'est plus désormais que prostration, automutilation et accusations culpabilisantes envers son géniteur.
En créant un compte sur notre site, vous pourrez passer vos commandes plus rapidement, enregistrer plusieurs adresses de livraison, consulter et suivre vos commandes, et bien d'autres choses.
Se connecter
Créer un nouveau compte