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la joue pas rasée de la solitude

Philippe Pichon (Auteur)
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Résumé

Des études de Lettres supérieures et un engagement au service de la Nation ont façonné le poète et l'écrivain Philippe Pichon - lanceur d'alerte et ancien commandant de la Police nationale. Artisan de la mélopée du sonnet, publié dès l'âge de 17 ans et reconnu par ses pairs dont l'Académie des Jeux floraux, l'auteur réinvente sa langue dans cette trilogie au format paysage. Dans cet ultime opus, dédié à James Sacré, concluant la série composée précédemment de Aux basaltes de l'âge et L'Éphémère en héritage ... Lire la suite
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Biographie

Parce qu'il s'y sent à l'étroit, Philippe Pichon n'aime pas les biographies. Ce que l'on sait de lui : né en 1969, à Nogent-sur-Marne, la patrie des jours chÎmés de Duvivier et Carné, il a grandi en Seine-Saint-Denis avec la Bretagne de ses aïeux rivée aux songes, et vit désormais dans la vallée du Grand Morin, à l'ombre des Coulommiers en fleurs.


Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution14/03/2022
EAN9782917584644
Nb. de Pages132
EditeurProlegomenes
Caractéristiques
Poids234 g
PrésentationGrand format
Dimensions23,5 cm x 14,5 cm
Détail

Des études de Lettres supérieures et un engagement au service de la Nation ont façonné le poète et l'écrivain Philippe Pichon - lanceur d'alerte et ancien commandant de la Police nationale. Artisan de la mélopée du sonnet, publié dès l'âge de 17 ans et reconnu par ses pairs dont l'Académie des Jeux floraux, l'auteur réinvente sa langue dans cette trilogie au format paysage. Dans cet ultime opus, dédié à James Sacré, concluant la série composée précédemment de Aux basaltes de l'âge et L'Éphémère en héritage dédiés respectivement à Hélène Cadou (juin 2021) et Jean-Pierre Lemaire (décembre 2021), Philippe Pichon hurle son appartenance au plain-chant minéral. Avertissement, cri de révolte : « Le blanc du non-dit palpite sous la cuirasse du silence », haltes, « hiver aux canines fauves », la page se vide dans Le silence inaugural... Puis la « survie se cabre » nourrie à la cavalcade buissonnière révolue « entre la froideur cristalline et le frémissement végétal », régénérée à l'horizon. « Triomphants, les baliveaux mauves de l'arrière-saison ont rejeté au loin leur vêture importune. Libres et aigus (...) ils déchiquettent l'espace ». Franchissant failles et dunes, fréquentant la jeune pluie comme l'orage inquiétant, le guide de haute-nature nous invite à aller avec lui « confondant l'univers et nos corps ».
Les lecteurs, « vagabonds des contrées solitaires » ayant suivi jusqu'à son terme l'aventure rentreront avec « le visage buriné », les « cheveux pleins de vent » et « La joue pas rasée ». Une randonnée sauvage ne s'achève, effectivement pas, sans laisser de traces ! Elles sont « regrets en sillage », « balafre ouverte » ou « coup de sabre de l'herbe à venir », « empreintes nues » ou « fragilité de l'instant pris au piège ». Elles pénètrent la chair et l'âme, s'effacent sur la piste ou se déchiffrent à même la pierre.
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