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La déportation des ouvriers belges en Allemagne (1914-1918) d'après le journal de Léon Frérot (Biesme)

Jean-Louis Van Belle (Auteur)
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Résumé

Léon Frérot était entrepreneur à Biesme (Mettet, Belgique). En 1916, il fut déporté, avec plus de 80 autres travailleurs du village, au camp de Cassel, en Allemagne.

Grâce au journal qu'il écrira au jour le jour, nous comprenons leur refus systématique de répondre aux appels incessants des Allemands pour travailler en exil et connaissons ! mieux les conditions dans lesquelles ces civils étaient ! détenus. Dans ce journal sont passés en revue non seulement les états de santé des déportés, les sautes d'humeur des ... Lire la suite
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Biographie

Docteur en histoire, Jean-Louis Van Belle est fondateur et président du Centre International de Recherches Glyptographiques (CIRG) et auteur de nombreuses publications, dont le « Dictionnaire de signes lapidaires de Belgique et du nord de la France », ainsi que le « Dictionnaire bibliographique des signes lapidaires de France ».

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution12/11/2013
CollectionTemoins D'histo
EAN9782874570674
Nb. de Pages152
Caractéristiques
EditeurSafran Bruxelles
Poids234 g
PrésentationGrand format
Dimensions22,0 cm x 14,0 cm x 1,4 cm
Détail

Léon Frérot était entrepreneur à Biesme (Mettet, Belgique). En 1916, il fut déporté, avec plus de 80 autres travailleurs du village, au camp de Cassel, en Allemagne.

Grâce au journal qu'il écrira au jour le jour, nous comprenons leur refus systématique de répondre aux appels incessants des Allemands pour travailler en exil et connaissons ! mieux les conditions dans lesquelles ces civils étaient ! détenus. Dans ce journal sont passés en revue non seulement les états de santé des déportés, les sautes d'humeur des geôliers, les stratégies de survie, mais son récit fourmille également de renseignements relatifs aux habitants de Biesme et Mettet, dont il fut, pour certains, désigné responsable.

Et c'est tout un pan du passé qui surgit de l'ombre, mais qui faillit bien y rester. C'est, en effet, dans le bric-à-brac d'une caisse au contenu disparate, que lors d'une brocante, il fut tiré de l'oubli, voire de la destruction. Habent sua fata libelli !!
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