Depuis près de quarante ans, il ne se passe pas un jour sans que le mot CRISE ne vienne nous percuter : crise du pétrole, du logement, de l'emploi, de l'économie, de la société, de la culture, du vivre ensemble, de l'identité, de l'Etat.
Constatant que ceux qui nous dirigent, c'est-à-dire ceux qui sont à la tête de l'Etat, se sont avérés incapables de nous débarrasser de ce fléau, je me suis demandé s'il était possible d'y faire face ? La référence constante à la ... Lire la suite
Diplômé du supérieur en sciences économiques, l'auteur a travaillé dans les institutions et dans le privé, principalement dans de petites entreprises, où il a exercé de fait un grand nombre de métiers du management comme de la production. Il a pu aussi y faire l'expérience de l'étranger, en Europe et dans le sud-est asiatique.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
01/10/2012
EAN
9782917617694
Nb. de Pages
260
Editeur
Tatamis
Caractéristiques
Poids
303 g
Présentation
Grand format
Dimensions
20,0 cm x 14,0 cm
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Livre numérique
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Détail
Depuis près de quarante ans, il ne se passe pas un jour sans que le mot CRISE ne vienne nous percuter : crise du pétrole, du logement, de l'emploi, de l'économie, de la société, de la culture, du vivre ensemble, de l'identité, de l'Etat.
Constatant que ceux qui nous dirigent, c'est-à-dire ceux qui sont à la tête de l'Etat, se sont avérés incapables de nous débarrasser de ce fléau, je me suis demandé s'il était possible d'y faire face ? La référence constante à la lutte contre la crise est un écran de fumée ou un aveu d'échec et d'incompétence.
Mais alors, le diagnostic a-t-il été fait ? Est-il partagé ? Est-il valide ? A-t-on une stratégie qui en découle ? J'ai cherché les réponses. J'ai TOUT entendu à leur propos, mais ce qui m'est apparu le plus sincère fut la déclaration du Président Mitterrand vers la fin de son deuxième mandat le 14 juillet 1993 " en matière de lutte contre le chômage, on a tout essayé". Ce constat terrible pouvait être étendu à toutes les dimensions de la crise, et donc à la crise elle-même.
Dans ces conditions mon interrogation ne portait plus sur la crise, mais sur le moyen qui se dressait théoriquement contre elle : l'ETAT. N'était-ce pas lui finalement qui l'animait et l'alimentait ?
Ce ne fut pas mon état d'esprit lorsque j'en entreprenais l'étude vers le milieu des années quatre-vingt-dix. Mais au fur et à mesure de mes travaux, mes doutes sur l'efficacité de notre Etat se confirmèrent. Je m'apercevais que les objectifs que se fixaient nos dirigeants montraient qu'ils avaient perdu la raison. L'Etat, loin de neutraliser la crise, était dévoré par elle, mais tous ceux qui le peuplaient s'en accommodaient finalement fort bien.
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