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Capitale de la douleur

Paul Eluard (Auteur)
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Résumé

Capitale de la douleur", publié en 1926, contient deux groupes de poèmes déjà publiés sous les titres de "Répétitions" (1922) et "Mourir de ne pas mourir" (1924). Il se termine sur des poèmes plus récents: "Les Petits Justes" et "Nouveaux poèmes". Dans "Répétitions", les domaines du rêve et de la réalité se confondent et se mêlent étroitement. Les mots, les membres de phrases se heurtent, se contredisent et parviennent à faire fleurir d'énigmatiques images. La matière se refuse à toute espèce de définition rationnelle, cohérente, ... Lire la suite
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Biographie

De son vrai nom EugÚne Grindel (14 décembre 1895 à Saint-Denis - 18 novembre 1952 à Charenton-le-Pont), Paul Eluard adhÚre au mouvement Dada, puis participe à l'aventure surréaliste aux cÃŽtés d'André Breton, Louis Aragon et Philippe Soupault. PoÚte de la Résistance durant les années noires, militant communiste, il demeure le chantre éternel d'un certain lyrisme amoureux. Ces poÚmes marqués par la lutte contre l'occupant sont rassemblés en avril 1945 dans Au rendez-vous allemand, suivi de Poésie et vérité 1942, qui paraît aux Éditions de Minuit. Les Œuvres complÚtes de Paul Eluard sont disponibles dans la « BibliothÚque de la Pléiade » (Gallimard, 1968, 2 vol.).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution04/11/2024
EAN9782824912455
Nb. de Pages120
EditeurLa Republique Des Lettres
Caractéristiques
Poids136 g
PrésentationGrand format
Dimensions18,5 cm x 13,5 cm x 0,8 cm
Détail

Capitale de la douleur", publié en 1926, contient deux groupes de poèmes déjà publiés sous les titres de "Répétitions" (1922) et "Mourir de ne pas mourir" (1924). Il se termine sur des poèmes plus récents: "Les Petits Justes" et "Nouveaux poèmes". Dans "Répétitions", les domaines du rêve et de la réalité se confondent et se mêlent étroitement. Les mots, les membres de phrases se heurtent, se contredisent et parviennent à faire fleurir d'énigmatiques images. La matière se refuse à toute espèce de définition rationnelle, cohérente, elle n'obéit qu'aux lois mystérieuses de l'inconscient et irradie d'admirables éclairs poétiques. Dans "Mourir de ne pas mourir", les textes expriment la solitude, notamment celle du rêve et du rêveur. Le poète est clos dans son univers onirique, les êtres qui le hantent ne sauraient se dissocier de sa personne, atteindre la réalité objective. Le monde extérieur est inaccueillant, plein de chausse-trapes. Le poème est souvent, aussi, constat d'un malheur immuable, absolu, dans lequel l'homme est muré en tous temps et lieux. Les "Nouveaux poèmes" poursuivent la transcription des aventures intérieures du poète. Paul Éluard sort de sa « saison en enfer », le désespoir qui nourrit "Mourir de ne pas mourir" semble, pour un moment, conjuré. Nous assistons à un défilé d'images superbes et insolites, les textes baignent dans une atmosphère chaude et lumineuse, ont la pureté et l'allégresse d'une «invention du monde». Les derniers poèmes achèvent cette évolution et nous en donnent la clé. Ce sont des poèmes d'amour dans lesquels la femme aimée et exaltée est une médiatrice qui permet au poète de sortir de sa prison intérieure et lui rend la possession du monde."
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