class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

voyages d'une vie

Henry James, Jean Pavans (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Henry James, le plus grand romancier américain de son époque, a durant toute sa vie voyagé en Europe comme dans son pays natal, pour promener « un désir aux yeux ouverts », désir de noter tout ce qui pouvait alimenter ses sensations, son érudition, son inspiration et ses fictions. Il a rassemblé ses notations considérables dans de mémorables essais et récits de voyage.
Sous le titre de Voyages d'une vie se trouvent ici regroupés trois grands volumes : Heures anglaises (1905), Heures italiennes (1909) et ... Lire la suite
420,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

Écrivain et traducteur, Jean Pavans est né le 20 septembre 1949 à Tunis. Après des études de mathématiques (DEA de logique), il publie plusieurs livres à La Différence : Lazare définitif (1980), Ruptures d'innocence (1982), La Griselda (1986), Retour à Florence (1986), Le Sceau brisé (1988), Le Théâtre des sentiments (1991).
Il se lance parallèlement, dès le début des années 80, dans une entreprise raisonnée de traduction de l'œuvre de Henry James, dont le cœur est l'intégrale des Nouvelles. Il a par ailleurs adapté James pour la scène (Les Papiers d'Aspern, Comédie-Française, 2002). Pavans a traduit d'autres classiques anglo-saxons, comme Edith Wharton, Virginia Woolf, Gertrude Stein et Harold Pinter.
La Différence a réédité de lui, en 2007, dans « Minos », Sauna. Un texte inédit, Persée, y est également paru.
Né à New York en 1843, mort à Londres en 1916, Henry James qui prit la nationalité anglaise un an avant sa mort, est l'écrivain qui a dépeint le plus finement la distance, qui n'a cessé depuis de s'élargir, entre l'esprit européen et la sensibilité américaine. C'est à Londres où il s'établit à partir de 1876 qu'il écrit ses plus grands chefs-d'oeuvre. Une série d'études sur la femme américaine dans un milieu européen fut inaugurée par Daisy Miller (1878). Le thÚme opposant innocence américaine et sophistication européenne se retrouve dans Les Européens (1878), Washington Square (1880), Les Bostoniennes (1885) et « Reverberator » (1888) et atteint sa conclusion avec Les Ambassadeurs (1903) où la civilisation est définie comme « la tradition ininterrompue de culture que l'Europe occidentale hérita du monde antique ».

La Différence a publié en poche dans « Minos » : « Reverberator », Une vie à Londres, L'Autre Maison, Heures italiennes, Esquisses parisiennes, Le Sens du passé et La ScÚne américaine.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution27/02/2020
EAN9782221199947
Nb. de Pages992
EditeurBouquins
Caractéristiques
Poids660 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,0 cm x 13,5 cm x 3,3 cm
Détail

Henry James, le plus grand romancier américain de son époque, a durant toute sa vie voyagé en Europe comme dans son pays natal, pour promener « un désir aux yeux ouverts », désir de noter tout ce qui pouvait alimenter ses sensations, son érudition, son inspiration et ses fictions. Il a rassemblé ses notations considérables dans de mémorables essais et récits de voyage.
Sous le titre de Voyages d'une vie se trouvent ici regroupés trois grands volumes : Heures anglaises (1905), Heures italiennes (1909) et La Scène américaine (1907). Heures anglaises et Heures italiennes sont des recueils de textes écrits au fil du temps, avec d'admirables variations d'humeur au gré des époques. Les « livres d'heures » étaient, à la fin du Moyen Âge, des manuels de dévotion privée ornés d'enluminures. Or c'est bien une dévotion que James éprouve pour ses deux pays de prédilection : l'Angleterre, qu'en quelque sorte il a épousée, et l'Italie, qui est comme sa maîtresse idéale. Dans les Heures italiennes, il célèbre la « bienheureuse péninsule » sous ses aspects et dans ses profondeurs les plus intimes, les plus ardents, et aussi les plus sensuels.
La Scène américaine est le fruit d'un périple d'une douzaine de mois qu'accomplit James en Amérique à partir d'août 1904 après plus d'une vingtaine d'années d'absence, ou plutôt, comme il l'écrit, d'« absentéisme ». Il avait quitté un New York encore quasiment provincial. Il y découvre le surgissement des gratte-ciel, les flots d'immigrés de toutes origines, les constitutions de fortunes colossales, bref, l'explosion du XXe siècle et les prémices de la future domination planétaire des États-Unis. Ici comme en d'autres lieux, la perspicacité du regard de l'écrivain a quelque chose de prémonitoire, et par là d'intemporellement actuel.
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note