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Theatre de chambre

Michel Vinaver (Auteur)
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Résumé

" faut bien que j'utilise des mots, quand je te parle ", dit une voix innommée dans un poème d'eliot, avec ce qu'on imagine être une pointe d'impatience, d'irritation, de résignation.
Première pièce, hélène et philippe habitent ensemble, mère et fils. attachants l'un et l'autre. attachés l'un à l'autre. mais lui passe son temps à se dégager. d'elle. de la société. du monde. dissident, il l'est avec passivité. une tranquille et formidable passivité. il parle ... Lire la suite
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Biographie

Né en 1927 à Paris. Il est d'abord romancier avec Lataume et L'Objecteur publié en 1950 et 1951 chez Gallimard. Entre 1953 et 1980, il est cadre supérieur, puis directeur général de Gillette. Il mènera son activité de cadre et celle d'écrivain de front. Sa première pièce, Les Coréens, est créée en 1956 par Roger Planchon. D'autres pièces – Par-dessus bord, La Demande d'emploi, Les Travaux et les Jours, 11 septembre 2001 – et d'autres grands metteurs en scène (Antoine Vitez, Jacques Lassalle, Alain Françon...) suivront. Il a également adapté de nombreux auteurs classiques ou contemporains : Sophocle, Euripide, Shakespeare, Dekker, Gorki, Erdman ou encore Botho Strauss. De 1982 à 1991, il est professeur dans les départements d'études théâtrales de Paris III puis Paris VIII. En 2012, il publie sa correspondance avec Albert Camus, des lettres échangées entre 1946 et 1957 sur le thème de l'engagement.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution13/06/1997
EAN9782851810267
EditeurL'arche
Caractéristiques
Poids95 g
PrésentationGrand format
Détail

" faut bien que j'utilise des mots, quand je te parle ", dit une voix innommée dans un poème d'eliot, avec ce qu'on imagine être une pointe d'impatience, d'irritation, de résignation.
Première pièce, hélène et philippe habitent ensemble, mère et fils. attachants l'un et l'autre. attachés l'un à l'autre. mais lui passe son temps à se dégager. d'elle. de la société. du monde. dissident, il l'est avec passivité. une tranquille et formidable passivité. il parle mais se délie des paroles qu'il prononce. disons peut-être que chez lui il n'y a pas d'adhérence. il va. il va sans dire. elle n'est pas immobile, elle va et dit le discours " des parents ".
Elle le dit avec hésitation, ardeur, délicatesse, discrétion. apparemment ça ne mène pas à grand-chose. ce qui se passe entre eux risque tout le temps d'être nul. pourtant on n'est pas loin, entre eux deux, de ce qu'on pourrait appeler une passion, une intelligence. deuxième pièce, leur mère est morte et ils habitent ensemble, deux frères, quarante ans passés, célibataires, une vie réglée. sébastien qui travaille dans une usine est passionné par la comparaison entre les différentes nationalités, charles ouvrier coiffeur est moins profond, ils s'entendent bien, ça pourrait continuer comme ça.
Mais charles introduit, " de force ", nina, sa petite amie, dans leur vie commune. celle-ci se met à craquer. mais sans se défaire. au contraire la vie ne cesse, à partir de là, de se faire, puisqu'il y a les contradictions, les tensions, un incessant éclatement.
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