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Sorcières : femmes démoniaques

Maxime Préaud (Auteur)
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Résumé

Médée ou Circé, à califourchon sur un capricorne ou sur leur balai, les sorcières nous fascinent.

Elles ont inspiré des artistes majeurs tels que Bruegel l'Ancien, Dürer, Goya, Delacroix ou Ensor...
Sorciers et sorcières existent depuis l'aube des temps, mais la sorcellerie présente un caractère particulier dans l'Europe chrétienne, où elle est étudiée et théorisée à la fois par l'Église et par les pouvoirs temporels. En témoignent un grand nombre de livres, de procès, de condamnations et d'exécutions au cours de la Renaissance.

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Biographie

Conservateur général au Cabinet des estampes de la
Bibliothèque nationale de 1970 à 2010, Maxime Préaud
a consacré toute sa carrière à l'estampe, tout en étant
lui-même artiste graveur. Il est l'auteur de nombreux
articles scientifiques et à diriger de nombreux catalogues
d'exposition.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution27/05/2021
CollectionL'oeil Curieux
EAN9782717728538
Nb. de Pages48
Caractéristiques
EditeurBnf Editions
Poids68 g
PrésentationGrand format
Dimensions17,0 cm x 12,2 cm x 0,6 cm
Détail

Médée ou Circé, à califourchon sur un capricorne ou sur leur balai, les sorcières nous fascinent.

Elles ont inspiré des artistes majeurs tels que Bruegel l'Ancien, Dürer, Goya, Delacroix ou Ensor...
Sorciers et sorcières existent depuis l'aube des temps, mais la sorcellerie présente un caractère particulier dans l'Europe chrétienne, où elle est étudiée et théorisée à la fois par l'Église et par les pouvoirs temporels. En témoignent un grand nombre de livres, de procès, de condamnations et d'exécutions au cours de la Renaissance.

Se détournant de Dieu et de son Église, sorciers et sorcières se laissent séduire par les ruses du démon, auquel ils vouent un culte idolâtre dont la manifestation suprême est l'hommage rituel qu'ils lui rendent lors de certaines cérémonies nocturnes qu'on appelle leur sabbat.



Pour les artistes, le thème de la sorcellerie constitue une inépuisable source d'inspiration. Bruegel l'Ancien ou Frans II Francken font étalage d'érudition maléfique. D'autres, comme Dürer, sont plus intéressés par l'opposition entre le corps potelé d'une jeune sorcière débutante et celui boucané d'une vieille opiniâtre. Tandis que Hans Baldung Grien (c'est-à-dire vert comme le diable) montre des sorcières nues en train de se couvrir d'onguent pour se rendre au sabbat par la voie des airs.
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