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Libres réflexions sur la peine de mort

Jean-Louis Harouel (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

On présente aujourd'hui l'abolition de la peine de mort comme un progrès majeur de civilisation. En est-il vraiment ainsi ? S'inscrivant en faux contre la vulgate ambiante, Jean-Louis Harouel propose une lecture iconoclaste et profondément originale.
Il montre que, contrairement aux apparences -et à ce que bien des gens croient sincèrement -, la phobie de la peine de mort qui caractérise aujourd'hui l'Europe occidentale ne procède pas du Tu ne tueras pas de la Bible, mais est un des effets d'une religion séculière ayant pris ... Lire la suite
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Biographie

Agrégé des Facultés de droit, Jean-Louis Harouel est professeur à Paris II. Auteur d'une quinzaine de livres, il a notamment étudié en juriste l'histoire de l'État, de l'administration et de la ville. Il est en outre spécialiste de sociologie de la culture («Culture et contre-cultures», PUF, 2002). Il a publié en 2009, chez Jean-Cyrille Godefroy «La grande falsification» qui a connu un
succès médiatique et commercial, ainsi qu'en 2012 : «Le vrai génie du christianisme», primé par l'Institut de France..

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution06/11/2019
EAN9782220096421
Nb. de Pages212
EditeurDesclee De Brouwer
Caractéristiques
Poids236 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,0 cm x 13,0 cm x 1,6 cm
Détail

On présente aujourd'hui l'abolition de la peine de mort comme un progrès majeur de civilisation. En est-il vraiment ainsi ? S'inscrivant en faux contre la vulgate ambiante, Jean-Louis Harouel propose une lecture iconoclaste et profondément originale.
Il montre que, contrairement aux apparences -et à ce que bien des gens croient sincèrement -, la phobie de la peine de mort qui caractérise aujourd'hui l'Europe occidentale ne procède pas du Tu ne tueras pas de la Bible, mais est un des effets d'une religion séculière ayant pris le relais du communisme comme projet universel de salut terrestre : la religion des droits de l'homme. Or celle-ci est la continuatrice de vieilles hérésies oubliées qui manifestaient une grande désinvolture à l'égard de la vie des innocents tout en professant un amour préférentiel envers les criminels, considérés comme d'innocentes victimes.
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