Le Beau Danube bleu et l'astronef de 2001 : L'Odyssée de l'espace, Alex s'identifiant à Beethoven dans Orange mécanique, ou encore la Valse de Chostakovitch en générique d'Eyes Wide Shut... chez Stanley Kubrick, images et sons se mêlent indéfectiblement. Chaque film décline sa singularité dans le choix des oeuvres musicales. Partitions baroques pour Barry Lindon, musique moderne dans Shining ou répertoire pop avec Full Metal Jacket. Cette alchimie est le fruit d'un travail d'une rare précision technique. Un travelling s'allie ainsi à une modulation, et un ... Lire la suite
Antoine Pecqueur est journaliste et présentateur sur la chaîne de télévision Mezzo. Il tient également la rubrique « Enquêtes » de La Lettre du Musicien et collabore comme reporter au magazine Classica. Titulaire d'un Prix de basson du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon, il joue par ailleurs régulièrement au sein d'orchestres sur instruments anciens et d'ensembles de musique contemporaine.
Caractéristiques
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Date Parution
20/04/2007
EAN
9782916347042
Nb. de Pages
94
Editeur
Editions !
Caractéristiques
Poids
108 g
Présentation
Grand format
Dimensions
19,0 cm x 12,5 cm x 0,6 cm
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Livre numérique
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Détail
Le Beau Danube bleu et l'astronef de 2001 : L'Odyssée de l'espace, Alex s'identifiant à Beethoven dans Orange mécanique, ou encore la Valse de Chostakovitch en générique d'Eyes Wide Shut... chez Stanley Kubrick, images et sons se mêlent indéfectiblement. Chaque film décline sa singularité dans le choix des oeuvres musicales. Partitions baroques pour Barry Lindon, musique moderne dans Shining ou répertoire pop avec Full Metal Jacket. Cette alchimie est le fruit d'un travail d'une rare précision technique. Un travelling s'allie ainsi à une modulation, et un contrechamp à un motif rythmique. Les oeuvres musicales possèdent également une force symbolique en empathie avec les films. L'atmosphère d'un lieu ou le caractère d'un personnage sont transfigurés par une partition de Hændel ou de Ligeti. Il apparaît donc judicieux de confronter les emplois réaliste et expressionniste de la musique dans la filmographie de Stanley Kubrick. Où il ressort finalement que ce n'est pas la musique qui sert le film, mais le film qui sert la musique.
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