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La vie derrière soi : fins de la littérature

Antoine Compagnon (Auteur)
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Résumé

La littérature a un lien essentiel avec la mort, le deuil et la mélancolie. Pourtant, les oeuvres tardives des écrivains suscitent moins de curiosité que celles des peintres et musiciens, plus affectés par les défaillances de leur corps, la main, l'oeil ou l'oreille. «Il faudrait cesser de travailler dans un certain âge ; car tous les hommes vont déclinant», décrète le Bernin devant les derniers tableaux de Poussin. Dans ses dernières leçons au Collège de France, Antoine Compagnon se livre à une méditation sur la ... Lire la suite
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Biographie

Né en 1950, Antoine Compagnon a enseigné à la Sorbonne et à l'université Columbia de New York. Il est depuis 2006 professeur titulaire de la chaire de Littérature française moderne et contemporaine : histoire, critique, théorie au Collège de France. Il est notamment l'auteur de La Troisième République des lettres (1983), Les Cinq Paradoxes de la modernité (1990) et Les Antimodernes, de Joseph de Maistre à Roland Barthes (2005).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution14/09/2023
CollectionFolio Essais
EAN9782072989339
Nb. de Pages400
Caractéristiques
EditeurFolio
Poids206 g
PrésentationPoche
Dimensions17,8 cm x 10,8 cm x 1,8 cm
Détail

La littérature a un lien essentiel avec la mort, le deuil et la mélancolie. Pourtant, les oeuvres tardives des écrivains suscitent moins de curiosité que celles des peintres et musiciens, plus affectés par les défaillances de leur corps, la main, l'oeil ou l'oreille. «Il faudrait cesser de travailler dans un certain âge ; car tous les hommes vont déclinant», décrète le Bernin devant les derniers tableaux de Poussin. Dans ses dernières leçons au Collège de France, Antoine Compagnon se livre à une méditation sur la fin, à la fois terme et but, sur l'âge, condition du sénile, mais aussi du sublime, sur les ultima verba, le chant du cygne... Il décortique les oeuvres finales, parfois oubliées, méconnues, méprisées, et les fait résonner dans une analyse pétrie d'érudition et de fantaisie. En refusant une vision assombrie des écrits tardifs, l'auteur rappelle qu'ils ont toute leur place dans le panorama artistique et fait revivre pour le lecteur les grands noms de la littérature française comme Gide, Chateaubriand, ou encore Proust.
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