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La souffrance au travail ; osons le dire !

Denis Langlet (Auteur)
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Résumé

Fatigue, stress, surmenage, manque de considération et de reconnaissance, promesses d'augmentation et d'évolution non tenues, ces trente dernières années les conditions de travail de millions d'hommes et de femmes ont été bouleversées. L'individualisation a remplacé le travail collectif. La mise en compétition des salariés a chassé la solidarité déjà fragile. La réussite individuelle a été récompensée. La surcharge de travail est appelée «défi», «challenge». Dans cette ambiance, faire preuve d'indépendance d'esprit est suspect. Les nouvelles méthodes de gestion engendrent une dureté et une déshumanisation des ... Lire la suite
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Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution11/01/2012
EAN9782364880047
EditeurBruno Leprince
Caractéristiques
Poids201 g
PrésentationGrand format
Dimensions17,0 cm x 12,1 cm x 0,8 cm
Détail

Fatigue, stress, surmenage, manque de considération et de reconnaissance, promesses d'augmentation et d'évolution non tenues, ces trente dernières années les conditions de travail de millions d'hommes et de femmes ont été bouleversées. L'individualisation a remplacé le travail collectif. La mise en compétition des salariés a chassé la solidarité déjà fragile. La réussite individuelle a été récompensée. La surcharge de travail est appelée «défi», «challenge». Dans cette ambiance, faire preuve d'indépendance d'esprit est suspect. Les nouvelles méthodes de gestion engendrent une dureté et une déshumanisation des relations de travail.
Il a fallu un siècle de luttes syndicales et de combats politiques pour encadrer les conditions de travail et protéger les salariés. Mais rien n'est jamais conquis durablement, tout est rapport de force syndical et politique.
Aujourd'hui, la domination totale de la finance rend l'action difficile. La rapacité est devenue priorité. Guizot disait «enrichissez-vous». Il faudrait dire «goinfrez-vous». La course au profit aboutit à une logique de création de capital par destruction d'emplois. Le marché détruit l'emploi. OSONS LE DIRE !
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