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La République assassinée : Mars-juillet 1940

Michèle Cointet (Auteur)
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Résumé

Entre le 22 mars 1940, lorsque Paul Reynaud devient enfin président
du Conseil, et le 10 juillet, où l'Assemblée nationale vote l'abolition de la République sous l'égide de Philippe Pétain, la comédie du pouvoir s'est transformée en tragédie nationale. Ce processus désastreux demeure à bien des égards un mystère mal éclairci, que les déclarations et les Mémoires de certains acteurs ont contribué à épaissir. Si les causes militaires et diplomatiques ont pesé lourd, l'aspect politique et même culturel de l'événement méritait d'être approfondi.
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Biographie

Agrégée, docteure d'État en histoire contemporaine, docteure ès lettres et professeure honoraire à l'université de Tours, Michèle Cointet, née en 1941, a publié une quinzaine d'ouvrages remarqués et récompensés, parmi lesquels Vichy capitale,1940-1945 (1993), L'Église sous Vichy (1998), Pétain et les Français (2002), Nouvelle histoire de Vichy (2011), Secrets et mystères de la France occupée (2015).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution18/01/2024
CollectionDocument
EAN9782382925263
Nb. de Pages336
Caractéristiques
EditeurBouquins
Poids426 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,4 cm x 15,7 cm x 2,5 cm
Détail

Entre le 22 mars 1940, lorsque Paul Reynaud devient enfin président
du Conseil, et le 10 juillet, où l'Assemblée nationale vote l'abolition de la République sous l'égide de Philippe Pétain, la comédie du pouvoir s'est transformée en tragédie nationale. Ce processus désastreux demeure à bien des égards un mystère mal éclairci, que les déclarations et les Mémoires de certains acteurs ont contribué à épaissir. Si les causes militaires et diplomatiques ont pesé lourd, l'aspect politique et même culturel de l'événement méritait d'être approfondi.

Comment, sous les yeux d'un président de la République frappé d'une impuissance consentie, trois anciens présidents du Conseil ont-ils prêté la main à ce bouleversement au profit d'un maréchal de France ? Les manoeuvres des seconds rôles révèlent des motivations et des mentalités marquées par la guerre précédente et par les impasses où des institutions irréformables ont conduit le pays. L'atmosphère délétère de fin de régime et l'écrasante pression psychologique qu'à Tours, Bordeaux puis Vichy, la défaite en cours fait peser sur des hommes peu préparés à la supporter ont mené à l'inéluctable.
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