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la première année

Jean-michel Espitallier (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Tandis qu'au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s'éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d'une disparition, qui enregistre - au sens musical du terme - la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l'absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, ... Lire la suite
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Biographie

Né le 4 octobre 1957, il vit à Paris. Ecrivain inclassable (« Wittgenstein à la façon
d'un Alphonse Allais » écrit Eric Loret dans Libération), il joue sur plusieurs claviers et selon
des modes opératoires constamment renouvelés. Entre rire jaune, tension comique et
dérision, sa poésie, proche en cela de l'art contemporain, use de la plus radicale fantaisie
pour coller un faux-nez au tragique et à l'esprit de sérieux et fait voler en éclat la notion de
genre, d'esthétique (et donc éthiques.).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution22/08/2018
EAN9791095086871
Nb. de Pages156
EditeurInculte
Caractéristiques
Poids218 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,0 cm x 13,9 cm x 1,3 cm
Détail

Tandis qu'au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s'éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d'une disparition, qui enregistre - au sens musical du terme - la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l'absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le «Journal de deuil» de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d'Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l'existence de l'autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n'est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c'est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l'incompréhensible et de surmonter l'insupportable.
Avis libraires et clients

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