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La grandeur de l'homme au siècle de Périclès

Jacqueline de Romilly (Auteur)
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Résumé

A travers la lecture des grands écrivains grecs, Jacqueline de Romilly tente de nous faire mieux comprendre cette théorie de la grandeur de l'homme qui apparaît, pour la première fois peut-être, au Ve siècle avant Jésus-Christ à Athènes.
Pour la première fois, les dieux n'ont plus des têtes d'oiseaux ou d'animaux, ne sont plus des faucons, des béliers, des chiens ou des vaches, ni des êtres impossibles aux attributs terrifiants, comme en Asie, ni des divinités aux mille bras, comme en Inde. Pour la première ... Lire la suite
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Biographie

Jacqueline de Romilly a voué sa vie à l'étude et à l'enseignement de
la littérature grecque ancienne et à ses grands auteurs. Professeur
dans l'âme, elle a milité par ses interventions et ses livres pour la
défense d'un enseignement de qualité et notamment pour le grec et
le latin, créant l'association S.E.L. (sauvegarde des enseignements
littéraires). Cette littéraire laisse aussi poindre sa sensibilité et son
talent d'écrivain dans des livres plus libres : un livre de méditation
sur la Provence et la montagne Sainte Victoire (1987), un roman
(1990), quatre volumes de nouvelles, et un livre consacré à Jeanne, sa
mère.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution02/06/2010
EAN9782877067188
Nb. de Pages115
EditeurFallois
Caractéristiques
Poids146 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,0 cm x 13,2 cm
Détail

A travers la lecture des grands écrivains grecs, Jacqueline de Romilly tente de nous faire mieux comprendre cette théorie de la grandeur de l'homme qui apparaît, pour la première fois peut-être, au Ve siècle avant Jésus-Christ à Athènes.
Pour la première fois, les dieux n'ont plus des têtes d'oiseaux ou d'animaux, ne sont plus des faucons, des béliers, des chiens ou des vaches, ni des êtres impossibles aux attributs terrifiants, comme en Asie, ni des divinités aux mille bras, comme en Inde. Pour la première fois, ce sont tout simplement des humains. Mais cet essai ne conduit pas à un optimisme naïf. Les Grecs ne croient pas que tout va bien pour l'homme.
La tragédie et l'histoire nous montrent au contraire qu'ils sont parfaitement conscients des défaites, des malheurs, des souffrances auxquelles l'humanité est exposée.
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