Le livre qui contient les ultimes réflexions de la célèbre helléniste sur le thème qui lui tient à coeur : la grandeur de l'homme, ce qui fait les héros.
À travers la lecture des grands écrivains grecs, Jacqueline de Romilly tente de nous faire mieux comprendre cette théorie de la grandeur de l'homme qui apparaît, pour la première fois peut-être, au V e siècle avant Jésus-Christ à Athènes. Pour la première fois, les dieux n'ont plus de têtes d'oiseaux ou d'animaux, ne sont plus ... Lire la suite
Jacqueline de Romilly a voué sa vie à l'étude et à l'enseignement de
la littérature grecque ancienne et à ses grands auteurs. Professeur
dans l'âme, elle a milité par ses interventions et ses livres pour la
défense d'un enseignement de qualité et notamment pour le grec et
le latin, créant l'association S.E.L. (sauvegarde des enseignements
littéraires). Cette littéraire laisse aussi poindre sa sensibilité et son
talent d'écrivain dans des livres plus libres : un livre de méditation
sur la Provence et la montagne Sainte Victoire (1987), un roman
(1990), quatre volumes de nouvelles, et un livre consacré à Jeanne, sa
mère.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
07/03/2019
Collection
Texto
EAN
9791021037373
Nb. de Pages
154
Caractéristiques
Editeur
Tallandier
Poids
156 g
Présentation
Poche
Dimensions
18,0 cm x 12,0 cm x 1,3 cm
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Livre numérique
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Détail
Le livre qui contient les ultimes réflexions de la célèbre helléniste sur le thème qui lui tient à coeur : la grandeur de l'homme, ce qui fait les héros.
À travers la lecture des grands écrivains grecs, Jacqueline de Romilly tente de nous faire mieux comprendre cette théorie de la grandeur de l'homme qui apparaît, pour la première fois peut-être, au V e siècle avant Jésus-Christ à Athènes. Pour la première fois, les dieux n'ont plus de têtes d'oiseaux ou d'animaux, ne sont plus des faucons, des béliers, des chiens ou des vaches, ni des êtres impossibles aux attributs terrifiants, comme en Asie, ni des divinités, aux milles bras, comme en Inde. Pour la première fois, ce sont tout simplement des humains.
Mais cet essai ne conduit pas à un optimisme naïf.
Les Grecs ne croient pas que tout va bien pour l'homme. La tragédie et l'histoire nous montrent au contraire qu'ils sont parfaitementconscients des défaites, des malheurs, des souffrances auxquellesl'humanité est exposée.
« Le lumineux mérite de la pensée de la Grèce d'alors est d'avoir eu le désir passionné de dominer cette situation, et de se vouer à un idéal supérieur qui serait quelque chose de durable et de beau. Le sens de la grandeur humaine est un but, une conquête, un effort toujours renouvelé auquel un homme digne de ce nom doit consacrer toutes ses forces : là résident les chances de succès, comme on l'a vu à Athènes, à ce moment-là... »
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