class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

la désinformation autour des origines de l'homme

Daniel Raffard de Brienne (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Évolution : la preuve par le pied ! C'est avec humour et talent que le président des écrivains catholiques s'emploie à réfuter la vulgate évolutionniste dans un petit livre aussi vigoureux que dense. C'est qu'en effet « ce conte de fée pour grande personne », selon l'heureuse expression de Jean Rostand, a du plomb dans l'aile. Pourquoi alors persister dans l'affirmation de ce qui n'est pas prouvé ? Parce que, nous dit Daniel Raffard de Brienne, il n'y a pas de théorie de remplacement et, ... Lire la suite
218,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

Daniel Raffard de Brienne est président de Renaissance Catholique et du Centre International d'Études sur le Linceul de Turin. Depuis 1985 il publie dans des revues françaises et étrangÚres de nombreux articles et opuscules sur le Saint Suaire. Il est l'auteur de Le secret du Saint Suaire (1993), et d'Enquête sur le Saint Suaire (1996).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/09/2022
CollectionPatrimoine Des Héritages
EAN9782353746019
Nb. de Pages64
Caractéristiques
EditeurDualpha
Poids130 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 14,8 cm
Détail

Évolution : la preuve par le pied ! C'est avec humour et talent que le président des écrivains catholiques s'emploie à réfuter la vulgate évolutionniste dans un petit livre aussi vigoureux que dense. C'est qu'en effet « ce conte de fée pour grande personne », selon l'heureuse expression de Jean Rostand, a du plomb dans l'aile. Pourquoi alors persister dans l'affirmation de ce qui n'est pas prouvé ? Parce que, nous dit Daniel Raffard de Brienne, il n'y a pas de théorie de remplacement et, qu'au surplus cela sert encore les vues des matérialistes forcenés. C'est pourquoi, en simplifiant l'équation, peut-on dire, avec l'auteur, à la suite de Vladimir Volkoff, qu'il s'agit d'une véritable désinformation. Dans ces conditions : « Pourquoi des cælacanthes continuent-ils à nager tranquillement, sans changer d'une écaille, alors que d'autres auraient été les grands-pères de l'éléphant et du colibri ? » Autre argument massue si l'on peut dire : « Les cinq premières espèces animales apparaissent toutes en même temps au début de l'ère primaire. Or en effet, elles sont déjà réparties en sept embranchements : vers, éponges, oursins, méduses, crustacés, etc. dont les différences sont aussi grandes que de nos jours. » Le hasard de la probabilité de création d'une cellule vivante est vigoureusement réfuté en citant le mathématicien Georges Salet qui estime qu'il n'y avait pas une chance sur cent milliards de milliards que des séries de mutations aient formé un seul organisme pluricellulaire. Et le roman de l'évolution de dérouler sous la plume de l'auteur avec une réfutation par page dont celle qui précise, contrairement à un discours dominant, que « le singe et l'homme n'ont pas le même nombre de chromosomes et qu'on ne voit pas l'amorce de la moindre civilisation chez les simiens, car les seules sociétés animales organisées que l'on connaisse sont le fait d'individus dépourvus de cerveau, les fourmis et les abeilles. » De Lucy qui n'est pas notre grand-mère à l'homo erectus, au pithécantrhrope et à l'homme de Pékin, la galerie de nos pseudo-ancêtres est promptement rendue au néant (Olivier Pichon, Monde et Vie).
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note