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L'avenir de l'intelligence - un essai philosophique et politique

Charles Maurras (Auteur)
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Résumé

L'Avenir de l'intelligence est un essai philosophique et politique du journaliste et homme politique français Charles Maurras, directeur de L'Action française publié en 1905. Ce texte est publié dès 1902 dans la revue Minerva dirigée par le journaliste René-Marc Ferry. Charles Maurras propose une critique « de l'évolution du statut de l'Intelligence au contact de la modernité, de sa progressive soumission à l'Or ».
Dans ce texte, Maurras y développe « toute l'intransigeance de son intellectualisme » pour André Lagarde et Laurent Michard. Charles Maurras ... Lire la suite
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Caractéristiques

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Date Parution14/12/2022
EAN9782385086633
Nb. de Pages250
EditeurCulturea
Caractéristiques
Poids329 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 14,8 cm x 1,4 cm
Détail

L'Avenir de l'intelligence est un essai philosophique et politique du journaliste et homme politique français Charles Maurras, directeur de L'Action française publié en 1905. Ce texte est publié dès 1902 dans la revue Minerva dirigée par le journaliste René-Marc Ferry. Charles Maurras propose une critique « de l'évolution du statut de l'Intelligence au contact de la modernité, de sa progressive soumission à l'Or ».
Dans ce texte, Maurras y développe « toute l'intransigeance de son intellectualisme » pour André Lagarde et Laurent Michard. Charles Maurras dénonce « la destitution historique des élites artistiques, passant d'un mécénat de prince éclairé au pouvoir purement intéressé et spéculatif, plus vulgaire et teinté de cosmopolitisme, des riches possesseurs des organes de presse, dénonçant ainsi un monopole de fait de l'Or sur la pensée et l'esthétique ».
L'essai est imprégné « d'un anticapitalisme social qui serait aussi bien reçu et applaudi par des personnalités intellectuelles et politiques de droite que de gauche et d'extrême-gauche » comme Édouard Berth, disciple de Georges Sorel. Julien Cohen y décèle l'expression d'un « anticapitalisme maurrassien » qui se définit par la dénonciation de « la corruption de la société civile nationale mais il est avant tout un refus du cosmopolitisme, c'est-à-dire de l'immigration de masse qu'implique la nouvelle société de marché ». D'après Pierre Boutang, ce texte est composé au cours de la période où Maurras portait « le plus d'attention à la réalité économique ».
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