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l'antéchrist

Friedrich Nietzsche (Auteur)
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Résumé

Dans L'Antéchrist, au titre volontairement équivoque, le Christ est étrangement épargné, tandis que la charge vise les «chrétiens». Le christianisme, dit Nietzsche, est une invention de l'apôtre Paul, qui falsifie la «bonne nouvelle» du Christ pour en faire une «foi», le «mensonge sacré» d'une morale de la négation de la vie sous le symbole de la Croix : «Ce qui est chrétien, c'est la haine contre l'esprit, contre la fierté, le courage, la liberté, le libertinage de l'esprit ; ce qui est chrétien, c'est la ... Lire la suite
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Biographie

Frédéric Nietzsche (1844-1900) est l'un des grands penseurs de la modernité. Il est, selon ses propres mots, celui qui coupe littéralement l'histoire de la philosophie en deux. De La Naissance de la tragédie à Ecce Homo, en passant par Ainsi parlait Zarathoustra et Le Gai Savoir, il est l'auteur d'une oeuvre puissante et visionnaire, au style incomparable, qui fait aussi de lui le plus sensible des philosophes.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution13/04/2022
CollectionGf ; Philosophie
EAN9782080278029
Nb. de Pages276
Caractéristiques
EditeurFlammarion
Poids190 g
PrésentationPoche
Dimensions17,7 cm x 10,8 cm x 1,2 cm
Détail

Dans L'Antéchrist, au titre volontairement équivoque, le Christ est étrangement épargné, tandis que la charge vise les «chrétiens». Le christianisme, dit Nietzsche, est une invention de l'apôtre Paul, qui falsifie la «bonne nouvelle» du Christ pour en faire une «foi», le «mensonge sacré» d'une morale de la négation de la vie sous le symbole de la Croix : «Ce qui est chrétien, c'est la haine contre l'esprit, contre la fierté, le courage, la liberté, le libertinage de l'esprit ; ce qui est chrétien, c'est la haine contre les sens, contre les joies des sens, contre la joie tout court...» Bien plus qu'un pamphlet antireligieux et anticlérical, ce livre est une critique implacable et une généalogie de la morale, des idéaux du prêtre ascétique, de la «foi». Ces croyances, selon Nietzsche, persistent dans l'athéisme des «libres penseurs», et le «christianisme» se survit dans les «idées modernes», la foi dans la morale, la «vérité», le progrès, l'esprit de troupeau. Nietzsche, sans le connaître véritablement, y inclut ce qu'il appelle «socialisme», qui escamote la réalité pour lui substituer des idéaux négateurs, grégaires, moralisateurs et nationalistes inspirés par la «volonté de vengeance» des «faibles». Cet avatar du «christianisme» fait étrangement songer à ce qu'on appelle aujourd'hui populisme ou fascisme.
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