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J'ai cru que c'était un homme ; Alain, les religions, la laïcité, l'antisémitisme

André Comte-Sponville (Auteur)
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Résumé

Alain, philosophe athée, s'intéressait passionnément aux religions. C'est qu'il y voyait comme des miroirs, où l'humanité, qui les a produites, se projette et se reconnaît. Aussi en parle-t-il avec empathie et profondeur : je n'ai rien lu de plus beau sur les religions de la nature (« Pan »), de l'homme (« Jupiter ») ou de l'esprit (judaïsme, christianisme). Et rien de plus juste, sur la laïcité. Mais comment celui qui écrivait qu' « il n'est permis d'adorer que l'homme » put-il tomber - tout ... Lire la suite
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Biographie

Philosophe et enseignant français, né en 1952, André Comte-Sponville est l'auteur de nombreux ouvrages qui, par leur clarté et leur pédagogie, mettent la philosophie à la portée de tous. Philosophe humaniste, il a remis la recherche de la sagesse au goût du jour et a écrit sur beaucoup des thèmes classiques traités par les philosophes antiques ou des siècles passés, y compris sur la philosophie politique. Dans la "Sagesse des modernes", ouvrage co-signé avec Luc Ferry, les deux philosophes confrontent leurs visions respectives sur des thèmes fondamentaux comme la quête de sens, la liberté, la sagesse... André Comte-Sponville a eu la foi jusqu'à 18 ans : "L'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit". Il se définit comme un athée fidèle car il se reconnaît dans une certaine tradition et histoire des valeurs gréco-judéo-chrétiennes. Il pense que l'homme peut se passer de religion, la philosophie en étant l'un des moyens.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution15/01/2020
CollectionCarnets L'herne
EAN9791031902630
Nb. de Pages120
Caractéristiques
EditeurL'herne
Poids118 g
PrésentationGrand format
Dimensions16,5 cm x 11,2 cm x 1,1 cm
Détail

Alain, philosophe athée, s'intéressait passionnément aux religions. C'est qu'il y voyait comme des miroirs, où l'humanité, qui les a produites, se projette et se reconnaît. Aussi en parle-t-il avec empathie et profondeur : je n'ai rien lu de plus beau sur les religions de la nature (« Pan »), de l'homme (« Jupiter ») ou de l'esprit (judaïsme, christianisme). Et rien de plus juste, sur la laïcité. Mais comment celui qui écrivait qu' « il n'est permis d'adorer que l'homme » put-il tomber - tout en se le reprochant - dans l'antisémitisme que révèle son Journal inédit ? C'est ce que j'ai voulu essayer de comprendre.
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