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Il faut qu'il parte

Sébastien Lapaque (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

« Je n'aime pas les communistes parce qu'ils sont communistes ;
Je n'aime pas les socialistes parce qu'ils ne sont pas socialistes ;
Et je n'aime pas les miens parce qu'ils aiment trop l'argent. » Charles de GaulleC'est un nouveau discours de la servitude volontaire. Mais pas un Contre'un comme celui qu'écrivit La Boétie : le tableau d'une époque et un réquisitoire contre une bourgeoisie française aussi bête et borgne qu'en 1830 et en 1851.
Que se passe-t-il dans ce cher et ... Lire la suite
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Biographie

Romancier, essayiste et journaliste au Figaro, Sébastien Lapaque a déjà publié chez Actes Sud une anthologie de l'ivresse en littérature (Triomphe de Dionysos, avec Jérôme Leroy, Babel n° 392) ainsi que Le Petit Lapaque des vins de copains (2006 ; réed. 2009).
Egalement disponibles chez Actes Sud : Au hasard et souvent (journal, 2010), Les Identités remarquables (roman, 2009), Mythologie française (bourse Goncourt de la nouvelle, 2002), Les Idées heureuses (roman, 1999), Georges Bernanos encore une fois (essai, Babel n° 534).
Les Barricades mystérieuses (Babel noir, 1999) est le premier roman de l'auteur, proposé ici dans une version revue par ses soins.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution30/04/2008
CollectionEssais - Docume
EAN9782234061613
Nb. de Pages134
Caractéristiques
EditeurStock
Poids176 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,5 cm x 13,5 cm x 0,7 cm
Détail

« Je n'aime pas les communistes parce qu'ils sont communistes ;
Je n'aime pas les socialistes parce qu'ils ne sont pas socialistes ;
Et je n'aime pas les miens parce qu'ils aiment trop l'argent. » Charles de GaulleC'est un nouveau discours de la servitude volontaire. Mais pas un Contre'un comme celui qu'écrivit La Boétie : le tableau d'une époque et un réquisitoire contre une bourgeoisie française aussi bête et borgne qu'en 1830 et en 1851.
Que se passe-t-il dans ce cher et vieux pays pour qu'on accuse les pauvres d'être coupables de leur sort, pour que le travail, ce mal nécessaire, soit tenu pour une valeur, pour que le serpent de Mai 68 se morde la queue et que la culture soit rangée au rayon des biens de consommation ?
Un homme à la tête de l'État incarne aujourd'hui le nihilisme d'une hyperclasse sans attaches et sans territoire qui voudrait oublier que l'homme est un animal social et que le lien compte plus que le bien. Il ne sera pas nommé dans cet exercice de style dont la violence vise d'abord les idées : le poisson pourrit toujours par la tête. Il faut qu'il parte ne révélera aucun petit secret caché : il fera entendre le hurlement de bouledogue vivisectionné d'un écrivain non-conformiste.
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