De la Première Guerre mondiale aux Trente Glorieuses, l'histoire de la photographie toulousaine s'enrichit de nouvelles pages. Dans l'entre-deux-guerres, et alors que les deux anciennes associations d'amateurs (la Société Photographique de Toulouse et le Photo-Club Toulousain) continuent leurs activités de formation et d'information, un nouveau groupement à vocation artistique voit le jour et connaît ses premiers succès : le « Cercle Photographique des XII ».
Le métier de photographe évolue également, et les premiers photoreporters commencent à se faire un nom. Parmi eux, se détache ... Lire la suite
Archiviste-paléographe, François Bordes est aujourd'hui directeur des Archives municipales de Toulouse.
Depuis plus de trente ans, il s'est intéressé à l'histoire de la photographie et a organisé plusieurs expositions
mettant en valeur les fonds iconographiques dont il a eu la responsabilité. Outre les catalogues de ces
expositions, il a écrit plusieurs articles sur la naissance de la photographie à Toulouse.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
16/11/2017
Collection
Patrimoine Regi
EAN
9782708982284
Nb. de Pages
432
Caractéristiques
Editeur
Privat
Poids
1588 g
Présentation
Grand format
Dimensions
24,0 cm x 16,5 cm x 3,8 cm
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Livre numérique
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Détail
De la Première Guerre mondiale aux Trente Glorieuses, l'histoire de la photographie toulousaine s'enrichit de nouvelles pages. Dans l'entre-deux-guerres, et alors que les deux anciennes associations d'amateurs (la Société Photographique de Toulouse et le Photo-Club Toulousain) continuent leurs activités de formation et d'information, un nouveau groupement à vocation artistique voit le jour et connaît ses premiers succès : le « Cercle Photographique des XII ».
Le métier de photographe évolue également, et les premiers photoreporters commencent à se faire un nom. Parmi eux, se détache la personnalité de Germaine Chaumel, dont les images, influencées par les courants modernes de la « nouvelle vision » et la « nouvelle objectivité », témoignent aussi d'un réalisme poétique annonciateur de la photographie humaniste.
À sa suite, l'immédiate après-guerre voit naître le photographe auquel Toulouse va durablement s'identifier : Jean Dieuzaide, dit Yan. Reprenant les rênes du Cercle des XII, il s'y entoure de très bons amateurs et d'excellents professionnels qui présentent leurs oeuvres sur les cimaises de nombreux salons nationaux ou internationaux. Soucieux de ne pas quitter sa ville et d'y représenter dignement l'art qu'il pratique, il y suscite la création, en 1974, de la première galerie municipale en France dédiée à la photographie. C'est une autre histoire qui commencera alors.
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