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Ce que social veut dire Tome 2 ; les pathologies de la raison

Axel Honneth (Auteur)
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Résumé

Le tome I de Ce que social veut dire (2013), centré sur "Le déchirement du social", dégage, par le biais notamment d'une confrontation avec la tradition de la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), le modèle du conflit mis en oeuvre par la théorie de la "lutte pour la reconnaissance".
Mais se pose alors le problème de la justification normative de ce modèle. Deux possibilités s'offrent, qui ont longtemps paru s'exclure mutuellement : soit la valeur normative des luttes pour la ... Lire la suite
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Biographie

Né en 1949, Axel Honneth est philosophe et sociologue, professeur à la Johann Wolfgang Goethe Universität de Francfort, où il a succédé à Jürgen Habermas, et directeur de l'Institut für Sozialforschung. Il est l'auteur de nombreux ouvrages de philosophie sociale, dont La Lutte pour la reconnaissance (Cerf, 2000), La Société du mépris (La Découverte, 2006), La Réification (Gallimard, 2007), Les Pathologies de la liberté (La Découverte, 2008) ou encore Un monde de déchirements (La Découverte, 2013).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution15/01/2015
CollectionNrf Essais
EAN9782070143436
Nb. de Pages400
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids426 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,5 cm x 14,0 cm x 2,7 cm
Détail

Le tome I de Ce que social veut dire (2013), centré sur "Le déchirement du social", dégage, par le biais notamment d'une confrontation avec la tradition de la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), le modèle du conflit mis en oeuvre par la théorie de la "lutte pour la reconnaissance".
Mais se pose alors le problème de la justification normative de ce modèle. Deux possibilités s'offrent, qui ont longtemps paru s'exclure mutuellement : soit la valeur normative des luttes pour la reconnaissance est appréciée selon ce qu'elles apportent à la réalisation d'une "vie bonne" parmi les membres de la société ; soit leur rôle normatif se mesure à leur contribution à l'instauration de la "justice" sociale dans la société. Dans le premier cas, c'est la réalisation individuelle de soi qui constitue le critère normatif, et, dans le deuxième, la répartition équitable des libertés individuelles entre tous les membres de la société.

Renouant avec la tradition de la Théorie critique, Honneth se confronte ici avec Adorno, Benjamin, Neumann, Mitscherlich, Wellmer, mais aussi la psychanalyse et la théorie de la justice ; il établit qu'à la différence d'autres terminologies morales qui peuvent être mobilisées pour juger de l'état normatif des sociétés - que ce soient les concepts d'"aliénation" ou de "réification" d'un côté, de "discrimination" ou d'"exploitation" de l'autre, mais qui ne relèvent que de la philosophie sociale ou de la philosophie politique -, la lutte pour la reconnaissance est à la fois l'indicateur d'une pathologie sociale et l'indice d'une injustice.
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