Ce livre a à la fois tout et rien à voir avec ceux qu'a publiés jusqu'à présent Lytta Basset : il s'enracine dans un événement traumatique qui s'est abattu en mai 2000 sur cette femme dont toute l'oeuvre était précisément centrée sur la notion de malheur. Ce jour-là, son fils Samuel se suicidait à l'âge de 28 ans. Dès les premiers jours qui suivirent cette perte et pendant plusieurs mois, Lytta Basset prit quotidiennement note des événements (funérailles, relations avec son mari, visites, passages depressifs, ... Lire la suite
Lytta Basset, pasteure et théologienne protestante vivant en Suisse, est un des rares auteurs capables d'intéresser un public large, et parfois même non chrétien, à la lecture des Evangiles. Elle propose dans ses recherches une nouvelle lecture de la Bible et de la tradition qui répond aux interrogations individuelles et contemporaines sur le mal subi, le pardon, la joie, la colère ou la bienveillance. Ses interprétations, fondées sur une grande érudition en même temps que sur une expérience pastorale (accompagnement des mourants, etc) connaissent un vrai succès : Guérir du malheur, Le Pouvoir de pardonner, La Joie imprenable et Moi je ne juge personne, parus aux éditions Albin Michel, se sont tous vendus à plus de 10 000 exemplaires. Elle a reçu le Prix des librairies Siloë et celui du Syndicat des libraires religieux.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
29/08/2007
EAN
9782226180506
Nb. de Pages
224
Caractéristiques
Editeur
Albin Michel
Poids
315 g
Présentation
Grand format
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Livre numérique
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Détail
Ce livre a à la fois tout et rien à voir avec ceux qu'a publiés jusqu'à présent Lytta Basset : il s'enracine dans un événement traumatique qui s'est abattu en mai 2000 sur cette femme dont toute l'oeuvre était précisément centrée sur la notion de malheur. Ce jour-là, son fils Samuel se suicidait à l'âge de 28 ans. Dès les premiers jours qui suivirent cette perte et pendant plusieurs mois, Lytta Basset prit quotidiennement note des événements (funérailles, relations avec son mari, visites, passages depressifs, etc) et des sentiments qui l'habitaient. Cinq ans plus tard, elle reprend ces carnets qu'elle n'avait jamais relus, y découvre des éléments qu'elle avait totalement occultés dans sa mémoire traumatique, et dont certains sont extrêmement troublants : voix, visions de son fils comme un " ange ", de Marie et de Jésus, etc. Elle décide alors de retravailler ces carnets, pour transmettre la possibilité d'un " lien invisible " avec nos disparus : les notes prises sur le coup sont restituées sans retouche (en italique et à la troisième personne). Et l'auteur les commente avec ce recul de cinq ans (en romain et à la première personne) en tentant de les interpréter sereinement, à la lumière de la psychologie mais aussi des Evangiles. On est ici bien au-delà des fantasmes pseudo-spirituels qui empêchent parfois le travail de deuil de s'accomplir, mais on est aussi dans la transgression d'un tabou terrible, celui qui entoure les expériences de beaucoup d'endeuillés. Et c'est une universitaire, protestante réformée, non dévote, qui s'exprime.
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