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C'est moi, François

Edith Bruck (Auteur)
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Résumé

Après avoir lu "La lettre à Dieu" qui clôt Le Pain perdu, le pape François décide de rendre visite à Edith Bruck. Cet événement considérable, suivi de plusieurs autres rencontres, est ici raconté sur un ton à la fois tranchant, caustique, ému et poétique. Cette méditation à deux, entre le chef de l'Église catholique et une déportée juive athée, se termine sur l'horreur de la guerre en général et celle de l'Ukraine en particulier. (Olga, l'aide à domicile de l'auteur, toujours présente, est ukrainienne.) Le ... Lire la suite
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Biographie

Quelques éléments biographiques : Edith Bruck est née en Hongrie en 1932 au sein d'une
famille juive nombreuse et très pauvre. Déportée à Auschwitz à 12 ans avec une partie de sa
famille, elle revient du camp avec sa soeur aînée. Après des années d'errance en Europe et en
Israël, elle choisit de s'installer à Rome en 1954. Elle évolue alors dans le milieu italien de
l'écriture, se lie d'amitié, entre autres, avec Primo Levi et se marie avec le poète et metteur en
scène Nelo Risi (frère de Dino Risi). Dès 1959 elle publie de nombreux livres autobiographiques
écrits en italien. Son oeuvre féconde et puissante est traversée par l'expérience de la violence
d'Auschwitz.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution18/11/2022
EAN9782364686953
Nb. de Pages144
EditeurEditions Du Sous Sol
Caractéristiques
Poids140 g
PrésentationGrand format
Dimensions18,6 cm x 12,0 cm x 1,3 cm
Détail

Après avoir lu "La lettre à Dieu" qui clôt Le Pain perdu, le pape François décide de rendre visite à Edith Bruck. Cet événement considérable, suivi de plusieurs autres rencontres, est ici raconté sur un ton à la fois tranchant, caustique, ému et poétique. Cette méditation à deux, entre le chef de l'Église catholique et une déportée juive athée, se termine sur l'horreur de la guerre en général et celle de l'Ukraine en particulier. (Olga, l'aide à domicile de l'auteur, toujours présente, est ukrainienne.) Le pape, dans sa préface, souligne l'envergure humaine exceptionnelle d'Edith Bruck et, hanté par la culpabilité de sa communauté quant à la Shoah, situe cette tragédie du xxe siècle sur un plan temporel beaucoup plus vaste, ouvrant vers une réflexion métaphysique.
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