Comme un long coucher de soleil estival, déclinant lentement dans la violence de son rayonnement, la poésie de Jean-Louis Jacquier-Roux nous entraîne vers un automne plus humain que climatique, et cherche dans autrui son reflet d'un regard impatient et d'un oeil bienveillant.
Jean-Louis Jacquier-Roux connaît l'Italie centrale mieux que la plupart des Italiens. Curieux, inquiet, des années durant il a arpenté les bourgs médiévaux en ruine et les cités fortifiées sans rien changer à son programme. Le hasard de la conjoncture lui est souvent imposé ... Lire la suite
Jean-Louis Jacquier-Roux est né en 1947 dans l'Isère. Il est l'auteur d'une vingtaine de recueils et d'ouvrages (poésies, nouvelles, essais). Il a publié aux Carnets du Dessert de Lune Missiano, Th. R., 1953 et Foulées douces. Chez d'autres éditeurs : Peau de banane, nouvelles, La Passe du vent, 2004 ; Il ferait beau voir, Pré#Carré, 2007 ; Textes dans la N.R.F., Brèves, Europe. Collabore à la revue Décharge depuis 2002.
Caractéristiques
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Date Parution
17/11/2015
Collection
Pleine Lune
EAN
9782930607313
Nb. de Pages
84
Caractéristiques
Editeur
Les Carnets Du Dessert De Lune
Poids
120 g
Présentation
Grand format
Dimensions
16,0 cm x 14,0 cm x 0,8 cm
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Livre numérique
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Détail
Comme un long coucher de soleil estival, déclinant lentement dans la violence de son rayonnement, la poésie de Jean-Louis Jacquier-Roux nous entraîne vers un automne plus humain que climatique, et cherche dans autrui son reflet d'un regard impatient et d'un oeil bienveillant.
Jean-Louis Jacquier-Roux connaît l'Italie centrale mieux que la plupart des Italiens. Curieux, inquiet, des années durant il a arpenté les bourgs médiévaux en ruine et les cités fortifiées sans rien changer à son programme. Le hasard de la conjoncture lui est souvent imposé par les « accidents du voyage » : fausses routes, édifices vus de loin, rencontres à l'improviste dans les rues. On a vraiment l'impression que de tout cela il réussit à puiser sa présence au monde, son rapport violent avec ce en quoi il s'immerge.
Le regard de ce poète sur la vie est compassionnel, continuellement à l'affût : la « marche sur les oeufs », qui évoque un respect silencieux et sacré devant les pierres d'Assise, sa confrontation diabolique avec l'impossibilité de sauver, à chaque réveil, quelque chose de plus solide que « les plantes et les arbustes ». Une lutte au cours de laquelle il aperçoit à l'autre bout de la corde un Dieu présent et muet. C'est un combat entre la difficulté de vivre et l'amour de la vie.
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