Le fait divers fait mauvais genre... Il est vrai que l'on dit aussi cela du polar. Mais qu'est ce le polar sinon une adaptation plus ou moins romanesque, plus ou moins réussit des bons vieux faits divers.
Le père de tout cela c'est Caïn et Abel... Caïn tue Abel assurément pour une peu avouable histoire de fesses. Dans Faits Divers en Bretagne, on parle d'histoire comme cela, de crimes de sang ou non, de meurtres et d'assassinats. Des affaires qui ont eu pour cadre le ... Lire la suite
Louis Gildas, journaliste, est l'auteur, entre autres, d'une dizaine d'ouvrages consacrés aux traditions culinaires et familiales des régions de France. Ce Breton, tombé très tôt dans la marmite du verbe, est un amoureux du Limousin, et en particulier de la Haute-Vienne, là où, au milieu de son âge, il vécut de nombreuses années, dans un village entre pont de la Gabie et dolmen de Chez Moutaud. Avant tout fidèle à une longue lignée de bardes, Louis Gildas est un raconteur d'histoires.
Caractéristiques
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Date Parution
17/10/2018
EAN
9791097073312
Nb. de Pages
208
Editeur
Montagnes Noires
Caractéristiques
Poids
400 g
Présentation
Grand format
Dimensions
21,0 cm x 14,0 cm x 1,0 cm
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Livre numérique
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Détail
Le fait divers fait mauvais genre... Il est vrai que l'on dit aussi cela du polar. Mais qu'est ce le polar sinon une adaptation plus ou moins romanesque, plus ou moins réussit des bons vieux faits divers.
Le père de tout cela c'est Caïn et Abel... Caïn tue Abel assurément pour une peu avouable histoire de fesses. Dans Faits Divers en Bretagne, on parle d'histoire comme cela, de crimes de sang ou non, de meurtres et d'assassinats. Des affaires qui ont eu pour cadre le Finistère, les Côtes-du-Nord puis d'Armor ou encore le Morbihan, des histoires authentiques s'étant déroulées au siècle précédent.
Si l'on a pas autre chose de plus urgent à régler, on peut raisonnablement se poser la question « pourquoi aime-t-on autant le fait-div' ? » Ah ! en voilà une bonne question mais les réponses sont variées. Empathie pour les victimes, dit-on ici tandis qu'à peine plus loin on parle de voyeurisme malsain et comme il faut trouver des coupables à cette supposée déviance, on accuse, devinez qui, la presse et les médias en général.
Bien qu'appartenant à la corporation je prendrais bien garde de défendre tout le monde tant les dérapages de certains furent retentissants, l'Affaire Grégory en est un des exemples les plus marquant.
Durant des décennies, siégeant aux procès, grands ou petits, correctionnels ou d'assises sur le banc de la presse, le fait-diversier ne pouvait s'empêcher de penser qu'il assistait là au « Grand Théâtre de la vie » comme disait, il y a bien longtemps sa mémé de Kerinou.
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