Un carnet de lectures : quoi de plus intime et de plus modeste dans l'itinéraire d'une lectrice ! Il en est pourtant de précieux. C'est le cas de ce document inédit en anglais, jamais traduit, rédigé entre 1907 et 1909 par celle qui n'est pas encore la romancière d'exception Virginia Woolf.
Ces pages destinées à rester privées donnent des clés sur le rapport que Virginia Woolf a entretenu toute sa vie avec l'Antiquité. Elles jettent un éclairage biographique nécessaire sur une période que le Journal ... Lire la suite
Un carnet de lectures : quoi de plus intime et de plus modeste dans l'itinéraire d'une lectrice ! Il en est pourtant de précieux. C'est le cas de ce document inédit en anglais, jamais traduit, rédigé entre 1907 et 1909 par celle qui n'est pas encore la romancière d'exception Virginia Woolf.
Ces pages destinées à rester privées donnent des clés sur le rapport que Virginia Woolf a entretenu toute sa vie avec l'Antiquité. Elles jettent un éclairage biographique nécessaire sur une période que le Journal de l'écrivaine passe largement sous silence. Elles restituent, sous l'apparence de la prise de notes, le portrait d'une intellectuelle qui, double de la narratrice d'Une Chambre à soi, ne trouve pas sa place dans les institutions universitaires. Ce texte, écrit alors que se constitue le groupe de Bloomsbury, permet enfin d'explorer les liens que la jeune femme, à l'ombre du père et du frère disparus, tisse entre le monde des humanités classiques et les expérimentations littéraires contemporaines.
En créant un compte sur notre site, vous pourrez passer vos commandes plus rapidement, enregistrer plusieurs adresses de livraison, consulter et suivre vos commandes, et bien d'autres choses.
Se connecter
Créer un nouveau compte