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Une femme

Annie Ernaux (Auteur)
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Résumé

Le lundi 7 avril 1986, la mère d'Annie Ernaux s'éteint dans une maison de retraite. En trois ans, une maladie cérébrale, qui détruit la mémoire, l'avait menée à la déchéance physique et intellectuelle. Frappée de stupeur par cette mort que, malgré l'état de sa mère, elle s'était refusé à imaginer, Annie Ernaux s'efforce de retrouver les différents visages et la vie de celle qui était l'image même de la force active et de l'ouverture au monde. Quête du sens de l'existence d'une femme, d'abord ouvrière, ... Lire la suite
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Biographie

Annie Ernaux est l'auteur de seize livres aux Éditions Gallimard, parmi lesquels La place (prix Renaudot 1984, collection Blanche, 1983, « Folio » n°1722), Passion simple (collection Blanche, 1991, « Folio » n°2545) et Les années (collection Blanche, 2008, « Folio » n°5000). Ses livres ont été réunis dans un recueil intitulé Écrire la vie (« Quarto »).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution14/01/1988
CollectionBlanche
EAN9782070712007
Nb. de Pages114
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids118 g
PrésentationGrand format
Dimensions18,5 cm x 11,8 cm x 1,0 cm
Détail

Le lundi 7 avril 1986, la mère d'Annie Ernaux s'éteint dans une maison de retraite. En trois ans, une maladie cérébrale, qui détruit la mémoire, l'avait menée à la déchéance physique et intellectuelle. Frappée de stupeur par cette mort que, malgré l'état de sa mère, elle s'était refusé à imaginer, Annie Ernaux s'efforce de retrouver les différents visages et la vie de celle qui était l'image même de la force active et de l'ouverture au monde. Quête du sens de l'existence d'une femme, d'abord ouvrière, puis commerçante anxieuse de «tenir son rang», passionnée de lecture et pour qui s'élever «c'était d'abord apprendre». Mise au jour, aussi, de l'évolution et de l'ambivalence des sentiments d'une fille envers sa mère : amour et haine, culpabilité, tendresse et agacement, attachement viscéral et muet pour la vieille femme diminuée. Dans La place, l'autrice évoquait son père. Les deux récits se recoupent, se complètent, mais l'éclairage change, ici plus charnel et contrasté. L'écriture, précise et concrète, ressuscite d'une manière bouleversante cette mère qui était, pour sa fille, l'incarnation du Temps et de la condition sociale d'origine : «J'ai perdu le dernier lien avec le monde dont je suis issue.»
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