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Turquoise

Olivier Bramanti, Frédéric Debomy (Auteur)
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Résumé

Les politiciens étaient venus de la capitale pour diffuser des paroles malveillantes, et les premiers miliciens étaient apparus sur la colline.
Le régime en place avait décidé l'extermination de la minorité. Il jugeait cette "mauvaise ethnie" acquise à la rébellion armée du Front patriotique. Décidé à garder le pouvoir coûte que coûte, il avait su convaincre la population que l'éradication de ces "ennemis de l'intérieur" était une nécessité. Entre huit cent mille et un million de personnes ... Lire la suite
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Biographie

Frédéric Debomy a longtemps joué en France un rôle central dans le soutien au mouvement démocratique birman. Auteur de plusieurs livres sur la
Birmanie, il a très tôt attiré l'attention sur la situation des Rohingya et a directement abordé la question avec Aung San Suu Kyi lorsqu'elle l'avait reçu à
son domicile. Très fréquemment sollicité par les médias sur ce sujet, il a signé de nombreuses tribunes dans Le Monde, Libération, La Croix, Rue 89,
Mediapart, etc., et est intervenu dans de nombreuses émissions de télévision et de radio, sur RFI, France Culture, Europe 1, France Inter, BFM, France
24, France 3, TV5 Monde, Arte, Public Sénat...

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution05/01/2012
EAN9782283025581
Nb. de Pages96
EditeurCahiers Dessines
Caractéristiques
Poids458 g
PrésentationGrand format
Dimensions28,0 cm x 22,0 cm x 1,0 cm
Détail

Les politiciens étaient venus de la capitale pour diffuser des paroles malveillantes, et les premiers miliciens étaient apparus sur la colline.
Le régime en place avait décidé l'extermination de la minorité. Il jugeait cette "mauvaise ethnie" acquise à la rébellion armée du Front patriotique. Décidé à garder le pouvoir coûte que coûte, il avait su convaincre la population que l'éradication de ces "ennemis de l'intérieur" était une nécessité. Entre huit cent mille et un million de personnes avaient péri en trois mois. Sur sa colline, elle était la seule survivante du génocide, la seule à conserver le souvenir des siens.
Sa famille, ses amis, son village : tout semblait à jamais effacé. Les caméras de télévision étaient pourtant venues, mais trop tard, après les massacres. Les journalistes cherchaient-ils à témoigner du drame ou juste à saluer l'abnégation des soldats du "seul pays de la communauté internationale à avoir tenté quelque chose"? Cette histoire, c'est aussi l'histoire d'une rescapée.
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