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Trois Motets : pour voix d'hommes

Vellard Dominique (Auteur)
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Résumé

Ma musique naît souvent d'un désir de dialogue, de mise en regard avec des répertoires anciens ; ce sont souvent des hommages aux répertoires qui me nourrissent.

Ainsi on trouvera des réminiscences, des proximités avec :

- la vocalité des répertoires monodiques médiévaux (chant grégorien...) et de certains répertoires traditionnels (Inde, Grèce...) ;

- le contrepoint médiéval et les polyphonies traditionnelles (Géorgie, Bassin méditerranéen). Comme dans plusieurs de ces traditions, la seconde majeure, la quarte et la septième mineure sont considérées comme ... Lire la suite
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Caractéristiques

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Date Parution18/07/2023
EAN9782364852389
Nb. de Pages20
EditeurSymetrie
Caractéristiques
Poids86 g
PrésentationGrand format
Dimensions29,7 cm x 21,0 cm x 0,2 cm
Détail

Ma musique naît souvent d'un désir de dialogue, de mise en regard avec des répertoires anciens ; ce sont souvent des hommages aux répertoires qui me nourrissent.

Ainsi on trouvera des réminiscences, des proximités avec :

- la vocalité des répertoires monodiques médiévaux (chant grégorien...) et de certains répertoires traditionnels (Inde, Grèce...) ;

- le contrepoint médiéval et les polyphonies traditionnelles (Géorgie, Bassin méditerranéen). Comme dans plusieurs de ces traditions, la seconde majeure, la quarte et la septième mineure sont considérées comme consonantes et doivent sonner juste, sans battements, au même titre que l'octave ou la quinte ;

- des formes et des usages de la prosodie employés au Moyen-Âge : alternatim dans le Miserere et le Magnificat, notes tenues de la voix grave dans l'Ave regina coelorum, comme dans l'organum de Notre- Dame de Paris, le rythme syllabique souvent utilisé. Les trois motets sont écrits à l'origine pour des voix solistes (celles de l'Ensemble Gilles Binchois) mais le Miserere convient tout à fait à un ensemble vocal, de même que les versets impairs du Magnificat.

Pour le diapason, on choisira entre le ton écrit et 1?2 ton plus bas (415 Hz) selon les chanteurs réunis.

Le texte suit la prosodie latine classique, en respectant les accents sans qu'ils influent nécessairement sur la durée.

On pourra utiliser la prononciation latine italienne ou celle « à la Binchois » : voyelles latines et consonnes françaises.

L'esthétique de ces pièces s'inscrit dans la continuité du chant sacré ancien, avec peu d'effets dynamiques. Les interprètes chantent à pleine voix, sans affectation. L'ornement s'intègre à la mélodie qui, elle, porte le texte fermement et clairement.

La conception vocale de ces motets rejoint l'idéal médiéval du chant d'Église : la vox suavis, haute, douce et claire, un chant qui combine les notions de puissance et de plénitude avec celles de douceur et de délicatesse.
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