«Chute de reins, chute du rêve enfantin d'être sage,
Fesses, trône adoré de l'impudeur,
Fesses, dont la blancheur divinise encor la rondeur,
Triomphe de la chair mieux que celui par le visage !»
Du corps humain auquel il rend hommage, Verlaine
fait jaillir une céleste musique. Corps de femmes,
corps de garçons tant rêvés, tant aimés, dont chaque
versant, chaque pli indique un chemin à explorer,
un paysage à parcourir...
Ici, le désir coule entre les lignes. Il a tantôt la grâce
d'une rivière ...
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