class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

Poemes erotiques

Verlaine Paul (Auteur)
Note moyenne:

Résumé


«Chute de reins, chute du rêve enfantin d'être sage,
Fesses, trône adoré de l'impudeur,
Fesses, dont la blancheur divinise encor la rondeur,
Triomphe de la chair mieux que celui par le visage !»
Du corps humain auquel il rend hommage, Verlaine
fait jaillir une céleste musique. Corps de femmes,
corps de garçons tant rêvés, tant aimés, dont chaque
versant, chaque pli indique un chemin à explorer,
un paysage à parcourir...
Ici, le désir coule entre les lignes. Il a tantôt la grâce
d'une rivière ... Lire la suite
26,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

1844-1896
La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie: son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l'armée. Il naît à Metz et fait ses études à Paris. Puis, il est employé à l'Hôtel de Ville. Il collabore au premier Parnasse (1866) et fréquente cafés et salons littéraires parisiens. En 1870, il épouse Mathilde Mauté avant de rencontrer Rimbaud. Il quitte alors son épouse pour suivre le jeune poète en Angleterre et en Belgique. En 1873, il le blesse d'un coup de revolver et est condamné à deux ans de prison qu'il purge à Bruxelles et à Mons. A sa sortie, il se rend à nouveau en Angleterre, puis à Rethel et exerce une charge de professeur.
En 1894, il est couronné "Prince des Poètes" et doté d'une pension. Usé prématurément, il partage son temps entre le café et l' hôpital. Il meurt dans la misère en 1896, à Paris.
Verlaine demande à la poésie d'être un chant discret et doux, traduisant des impressions indécises. En 1896, il s'est rallié au symbolisme que venait de lancer Moréas.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution08/02/2006
EAN9782290350157
Nb. de Pages76
EditeurJ'ai Lu
Caractéristiques
Poids86 g
PrésentationPoche
Dimensions20,5 cm x 13,0 cm x 0,6 cm
Détail


«Chute de reins, chute du rêve enfantin d'être sage,
Fesses, trône adoré de l'impudeur,
Fesses, dont la blancheur divinise encor la rondeur,
Triomphe de la chair mieux que celui par le visage !»
Du corps humain auquel il rend hommage, Verlaine
fait jaillir une céleste musique. Corps de femmes,
corps de garçons tant rêvés, tant aimés, dont chaque
versant, chaque pli indique un chemin à explorer,
un paysage à parcourir...
Ici, le désir coule entre les lignes. Il a tantôt la grâce
d'une rivière paresseuse, tantôt la rage d'un torrent
tumultueux. Il se fait ange ou démon, serein ou
tourmenté, enfer brûlant ou paradis perdu...

Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note